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◊ Mon avatar : Emma W. ◊ Mes messages : 597 ◊ Date de naissance : 33 ◊ Localisation : SOHO ◊ Mon âge : 20 ans ◊ Etude & Année d'étude : Littérature - 2° année ◊ Emploi(s) : Etudiante ◊ Date d'inscription : 01/01/2010
Moi et mon ego MES RELATIONS: CITATIONS: MES TOPICS SONT : Ouverts
Sujet: FAUST ♦ Tonight I sold my soul to the devil Ven 1 Jan - 20:27
« OF YOU CHARACTER WE KNOW »
* Nom & Prénom; HARROLDS; Faust Mackenzie. Elle porte le nom de son beau-père, qui l'a reconnue quand elle avait 6 ans. Son prénom, elle l'adore, elle le trouve original, beau et évocateur, sa mère lui a donné en référence évidemment au héros de l'oeuvre de Goethe, Faust, un livre qu'elle avait adoré lire plus jeune. Mackenzie, son second prénom, lui, lui vient de sa tante qui est aussi sa marraine, sa mère jugeant bon qu'elle le choissise, le père biologique de Faust s'étant barré avant même qu'elle ne naisse. * Âge & Date de Naissance; 23 ans || 27.05.1986 * Lieu de Naissance; Vancouver; British Columbia * Lieu d'habitation; London,; United Kingdom * Profession / Job; Etudiante || A voir plus tard * Loisirs; Lecture ○ Ecriture ○ Cinéma ○ Sorties ○ Shopping ○ Visites & expos ○ Photo ○ Musique * Groupe; Etudiants en Littérature
« TOUCH MY BODY »
* Parours; C'est à Vancouver, province de la Colombie Britannique, au Canada que Faust voit le jour. Sa mère est heureuse, bien que sa petite fille vient au monde sans avoir de père. En effet, celui qui est à l'origine de sa création s'est tout bonnement envolé dès qu'il a appris que sa copine était enceinte. etait-ce par peur de l'engagement ou par simple bêtise? Elle ne le saura jamais et pour être honnête, elle s'en fiche royalement. Kaora, sa mère, se trouve donc seule pour élever sa fille et c'est grâce à ses amis qu'elle parviendra à sortir la tête de l'eau et à élever correctement Faust jusqu'à ce qu'elle trouve son futur mari, Judah. D'origine polynésienne, Kaora est arrivée au Canada avec son père, ambassadeur britannique en poste là-bas à l'époque, muté au canada pour sa fin de carrière, elle y passera son adolescence et le reste de sa vie scolaire. C'est au lycée qu'elle rencontrera Austin, un jeune garçon bien sous tout rapport en apparence, et qui se révélera être un parfait idiot. O pas de suite non, il aimait Kaora, sincérement, mais la peur de la parternité avant l'heure l'avait fait fuir plus vite que son ombre. Ainsi donc, étudiante en histoire, âgée de 23, la jeune femme, coupée de sa famille repartie vivre en Angleterre à son entrée en fac, Kaora peut heuresement compté sur ses amis pour l'aider. Un peu trop fière pour admettre devant ses parents qui l'avaient prévenu qu'Austin n'était pas quelqu'un pour elle, elle a donc gardé sa grossesse secrète, ne leur avouant qu'à la naissance de Faust que son copain été parti. Avec un peu d'argent envoyé depuis la Grande Bretagne et le soutien de ses camarades de fac, la jeune femme accouche donc et commence à élever sa petite fille du mieux qu'elle le peut tout en finissant ses études pour devenir professeur d'Histoire. Et la petite miss grandit donc dans le giron de sa maman, ne remarquant pas tellement l'absence de figure paternelle dans son entourage. Mais bien sûr, tout ça a laissé des traces, mais elles ne se feraient sentir que plus tard. Et c'est en faisant une belle bêtise que Faust changera son destin, enfin si on veut. Casse-cou et tête brûlée, elle été montée dans un arbre au parc, avec sa voisine Susan, oui mais voilà, elle n'arrivait plus à redescendre, bien trop apeurée par la hauteur. Prévenue par la mère de la petite voisine, Kaora accouru au plus vite, et vit alors un jeune pompier attrapé sa fille dans l'arbre, la mettre sur son dos et redescendre l'échelle. Il s'apellait Judah. Le coup de foudre pur et simple. Le jeune pompier était sous le charme de cette beauté exotique et elle charmée par le côté naturel du jeune homme. Et voila comment en faisant la maline, Faust avait provoqué la rencontre qui allait changé leur vie à toutes les deux. Un an plus tard, Judah épousait Kaora et reconnaissait Faust comme étant sa propre fille et toute la famille déménageait pour l'Angleterre, pour se rapprocher de la famille de Kaora. Et la miss entra donc à l'école, comme n'importe quelle petite fille de 6 ans. Se montrant naturellement intéressée en cours, elle n'en restait pas moins un petit ouragan, toujours à courir partout et à jouer avec les garçons plutôt que ses petites camarades. Tendance qui s'estompera avec le temps heureusement. Et bien que sa mère ai pour passion l'Histoire, celà ne l'a jamais empêchée de laisser sa fille trouver sa propre voix. Et c'est comme ça donc que la petite fille se passionna pour la lecture. Mais pas encore au point d'envisager d'en faire un métier. En grandissant miss Harrolds ne change pas trop, elle est une fille simple, qui aime se dépenser en allant courir avec son père le matin, ou sortir marcher par tous temps. Mais c'est quand sa mère annonce une nouvelle grossesse qu'elle commençe à sentir le vide laissé par son vrai père à sa naissance. Judah est pour elle un père absolument formidable et il l'aimait réellement comme si elle était issu de sa chair, mais son demi-frère lui aurait son vrai père à ses côtés, parce qu'il l'aurait désiré, et attendu. Un sentiment de honte l'envahit alors, son père ne voulait même pas d'elle. Mais après une passe un peu "rebelle", et grâce à l'amour de ses parents, Faust surmonte tout ça et repart sur les startings blocs. Elève douée et intelligente, elle poursuit un parcours scolaire plutôt normal, intégrant le journal de son lycée, puisqu'évidemment, sa passion pour les lettres avait bien grandit depuis. Et c'est à cette époque là qu'elle annonce qu'elle désire suivre des études de Littérature, ce qui ne surprend pas grand monde évidemment, et elle obtient même une bourse pour venir étudier ici, dans l'une des plus prestigieuses facs de tout Londres. Et la voilà aujourd'hui, entamant sa dernière année d'études, vivant à présent dans son propre appart, tout en gardant sa chambre chez ses parents quand elle rentre le week end parfois.
* Description Morale; Faust est une fille simple. elle sait que les apparences jouent souvent contre elle, car elle peut parraître froide au premier abord, distante ou même hautaine mais ce n'est qu'une apparence car cette fille là est tout sauf du genre à se croire mieux que les autres. Sociable, d'un naturel toujours enjoué et souriant, elle ne jugera jamais personne sur les apparences. Elle sait aussi que beaucoup peuvent la penser être une vraie garce. Elle a une apparence qui fait des envieuses, elle peut avoir un comportement un peu provoc, mais non, ce n'est pas une peste de première. Elle sera toujours présente pour ses amis, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit, c'est un vrai St-Bernard, toujours les mots justes pour vous remonter le moral, vous faire rire en faisant la conne. Débordante d'énergie, Faust aime la vie, oui mais sans virer dans les excès, bien qu'elle admette la première ne pas refuser une bonne bière ou une cigarette de temps en temps. Oui, ce n'est pas une sainte, elle n'a jamais prétendu le contraire de toute façon et avec un prénom comme le sien, on est presque prédisposé à jouer avec le feu. Gourmande, elle adore grignoter toute la journée: bonbons, cookies, chocolat, chewing-gum, tout y passe. Par moments, c'est un vrai garçon manqué. Elle aime regarder le foot à la télé, elle ne joue pas les princesses et se défend pas mal dans un concours de rots, et surtout, elle adore porter des caleçons pour dormir. Faust est une fille qu'on apprécie pour sa loyauté aussi, même si elle tend à parfois être un peu rancunière quand on trahit sa confiance, mais après tout c'est normal. Aimant sortir, elle aime aussi beaucoup apprendre. Elle a apprit à jouer de la guitare toute seule, elle fait de la calligraphie japonaise pour se détendre, elle va dans les musées et voir des expos, elle s'intéresse à tout, elle est curieuse mais donc le bon sens du terme. Intelligente et intuitive, la demoiselle a une culture générale impressionnante. Elle ne court pas après les ragots et aura même plutôt tendance à ne pas apprécier les gens qui prêtent trop attention aux apparences et aux rumeurs. Faust est très ouverte d'esprit aussi, tolérante, mais attention, n'essayer pas de dénigrer ses proches devant elle, sans avoir conscience alors de vous exposer à son venin. Elle n'est pas mauvaise, mais protectrice, elle défendra bec et ongles ceux qu'elle aime. Oui, elle a un caractère entier, pas spécialement fort. Il faut l'essayer pour l'adopter, comme elle aime à le dire.
* Description Physique; Miss Harrolds est de taille moyenne, avoisinant le mètre soixante quatorze (1.74m). Elle tient beaucoup de sa mère, presque tout son portrait craché si ce n'est ses yeux, qui eux lui viennent de son père. Mais même si ce trait physique est hérité de son paternel, elle ne le déteste pas pour autant car elle sait qu'elle a de "beaux yeux", pour vous épargnez une citation connue d'un film français. Elle a donc les yeux vert-bleus, et un regard particulièrement expressif. On peut voir ses pensées au travers de son regard, qu'il soit espiègle, mutin ou rempli de colère. Faust a un visage harmonieux, presque celui d'une poupée de porcelaine. Lèvres pulpeuses mais sans verser dans la caricature, joues rondes, menton arrondi, front normal, bref, elle a un visage agréable à regarder. La miss porte les cheveux longs, depuis sa plus tendre enfance. Noir de jais, ces derniers sont le plus souvent portés relâchés, mais quand elle décide de les discipliner un peu plus, elle se fait une natte sur le côté ou alors se contente de rassembler ses cheveux en un chignon tout simple dont déborde plusieurs mèches ça et là. Pour le reste, elle a le teint légèrement hâlé, naturellement, ça tient des origines de sa mère, originaire de Polynésie. Très correctement proportionnée, elle a des formes généreuses, et là encore comme on dit, ce qu'il faut où il faut. Elle a de belles jambes, même si elle ne les montrent pas toujours. Bref, elle se trouve très bien comme elle est. Faust a deux tatouages: un au poignet gauche, un signe celtique au poignet, une citation de Shakespeare sur l'omoplate droite "We will all laugh at gilded butterflies", qui vient du Roi Lear. Côté fringues, mademoiselle aime mettre des petits tops en stretch, des t-shirts de ses groupes de rock favori, des jeans taille basse mais aussi des robes un peu bohème, des trucs simples en fait, qui font classes sans être plouc. Elle n'est pas une grande adepte de la mode même si comme n'importe quelle fille elle la suit quand même un peu. Elle adore porter des écharpes, genre kefiehs, mais aussi des chapeaux et des casquettes, et son incontournable, ses lunettes d'aviateur Ray-Ban, modèle original s'il vous plaît. Là encore, on voit bien dans ses vêtements le reflet de sa personnalité.
« YOUR TASTES »
* Plat préféré; Faust se damnerait pour une bonne pizza, recouverte de gruyère bien fondant. Bolognaise, Norvégienne, Hawaïenne, ou une simple Marguarita, elle en est folle, elle peut en manger tous les jours s'en jamais s'en lasser. * Boisson préférée; Dur dur de choisir, elle aime boire de tout, mais si vraiment elle devait choisir, ça serait le coca lemon, elle aime aussi bien le normal que le lime, c'est surtout parce que cette boisson a l'avantage d'allier deux choses qu'elle adore, le soda, et le citron. * Livre préférée; Elle l'a lu des dizaines de fois, il ne date pas d'hier mais pourtant les propos tenus dedans sont encore bien tristement d'actualité. Le Portrait de Dorian Gray, d'Oscar Wilde. Elle adore ce livre, elle cite d'ailleurs souvent Wilde dont elle connait presque tous les écrits, elle aime son cynisme et son humoir noir. * Musique préférée; La miss est mordue de rock. Elle écoute les grands classiques comme Queen, Aerosmith, Les Stones, Iron Maiden, AC/DC mais aussi des groupes plus récents, comme les Smashing Pumkins, GreenDay, et aussi un peu de métal, notamment Black Sabbath et Mötley Crew. Mais elle écoute aussi de tout, des BO de films, du classique (elle apprécie beaucoup Verdi et Bach) et aussi du R'n'B. * Couleur préférée; Le rouge c'est ce qu'elle apprécie le plus, bien qu'elle n'ai pas réellement de couleur préférée. Elle porte de tout, mais jamais vous ne la verrez mettre quelque chose de jaune ou rose fluo! * Parfum de Glace préféré; Chocolat, aussi gourmande qu'elle est elle ne peut pas résister à une glace au chocolat, avec des éclats dedans tant qu'à faire. * Odeur préférée; Celle de la pluie. Ca n'a pas réellemet d'odeur je vous l'accorde, mais elle aime beaucoup les différentes odeurs qui se propagent quand il pleut dehors, elle trouve que c'est une odeur apaisante. Sinon l'odeur de l'herbe fraichement coupée et celle d'une bonne pizza qui cuit au four. * Endroit préféré; La Tamise. Se promener le long du fleuve est sans nul doute son occupation favorité quand elle peut le faire parce qu'elle adore le paysage et aussi toute l'hsitoire attachée à ce cours d'eau. * Saison préférée; Automne. Pour deux raisons: il pleut souvent, elle qui adore se ballader sous la pluie et son parfum, c'est une évidence, et surtout pour les couleurs. Voir la nature se parer d'un camaïeu de rouge, jaune et orange, brun, elle ne s'en lasse pas et ça lui rapelle bien sûr aussi son pays natal, le Canada, réputé pour ses vases forets colorées en automne. * Lieu de vacances préféré; Vancouver, sa ville natale, elle aime cet endroit parce qu'il y fait bon vivre, les gens sont acceuillants et tout est à proximité. On est en bord de mer, les Rocheuses ne sont pas loin donc on peut aisément aller faire du ski et puis c'est une ville active. * Pays préféré; Le Canada, et oui, même si elle vit en Angleterre depuis qu'elle a 6 ans, il n'en reste pas moins que Faust aime le pays qui la vu naître, pour sa culture, ses paysages et ses spécialités culinaires
« « ANSWERS SOME QUESTiONS » »
* Si vous pouviez changer une chose; Faust ne changerait strictement rien à son physique, elle est comme elle est, c'est dans son caractère, elle n'aurait pas été gâtée par la nature elle aurait fait avec. Non, si elle avait le pouvoir de changer une chose dans sa vie, ça serait plus sur un plan personnel. Elle aimerait que sa mère n'ai jamais croisé son père, et que son père adoptif, puisqu'il la reconnu comme étant sa propre fille, soit aussi son père biologique. C'est sûr, souhaiter une chose pareille est un peu naïf et stupide, puisqu'elle ne serait sans doute jamais née et que c'est grâce à elle que sa mère a rencontré son futur nouveau mari, mais bon, elle hait celui qui lui a donné la vie. * Votre plus grand rêve; Le rêve de Faust est parfaitement réalisable. Ce n'est pas de gagner au loto, de trouver le mec parfait, d'avoir le dernier sac Vuitton et les chassures assorties, d'avoir des A à chaque contrôle, non, elle voudrait simplement parvenir à vivre de sa passion. Devenir écrivain à succès, d'être la future Dan Brown ou Stéphanie Meyer. Elle en a le potentiel en tout cas. * L'instant parfait; Pour la demoiselle l'instant parfait serait déjà en plein automne, sous une bonne averse, déambulant main dans la main avec au choix son copain ou un proche, à dire des conneries, à discuter politique, sport ou philo, un gobelet de Starbucks dans la main, les fringues trempées tout en écoutant du Queen. On est bien loin du strass et des apaillettes mais pour elle, ce genre de moment a un petit aperçu de paradis. * Le plus beau jour de votre vie; On dit toujours que le mariage est le plus beau jour de la vie d'une femme, de la mariée quoi. Bizarrement ce fut aussi celui de Faust, le jour le plus heureux de sa vie fut celui le plus heureux de sa mère. Quand elle devint officiellement Faust Harrolds et non plus Faust Setterfield, du nom de son père biologique. Ils s'étaient arrangés pour que les papier de la reconnaissance et le mariage soient faits le même jour. C'était donc, jusqu'à présent, le plus beau jour de la vie de notre jeune femme.
« JUST TALK »
* Où avez-vous trouvez le forum ?; J'y étais y a un bail, Gabriel A. Cartwright pour vous servir * Double compte ?; Nope * Exemple de poste;
Spoiler:
En se levant ce matin Fred n'avait pas idée qu'il éteindrait du poing pour la dernière fois son réveil. Il y a des jours où l'on fait mieux de rester au fond de son lit dit un célèbre proverbe, maxime qui aujourd'hui traverserait l'esprit de ce jeune avocat arrogant plusieurs fois. Une fois réveillé, il quitta donc son lit, immense pour quelqu'un qui vivait seul, et se dirigea dans sa salle de bains high-tech, les lumières sé déclanchant quand il entra. Il commença donc par prendre une douche, la journée promettait d'être chargée, comme toujours. Sa renommée le précédait et les dossiers s'accumulaient sur son bureau. Ils ne les acceptaient pas tous évidemment, les affaires sordides de divorce ou autres affaires trop banales pour lui, finissaient irrémédiablement toujours à la corbeille, ou bien sûr quand ses honoraires ne pouvaient être payés en temps et en heure. Oui, Fred n'était pas un type bien. Pas selon l'image que l'on se fait d'un type pareil en tout cas. Il est arrogant, et il peut se le permettre, c'est un as du barreau. Plaider lui vient naturellement, il a un bagou indéniable, et surtout l'art de jouer sur les mots. Et même s'il se montre chaleureux à la cour, ce n'est qu'un masque pour gagner l'audience et le jury à sa cause, car sans celà, il affiche un masque de froideur absolue, que rien ne semble pouvoir percer. Celà n'étonne donc personne qu'il soit seul, que l'argent qu'il gagne en remportant ses procès ne lui serve en fait qu'à entretenir son train de vie qui colle avec sa personnalité. Un choix de vie comme d'autres après tout, c'est vrai. Il n'a jamais ressentit le besoin de changer, car malgré son comportement on ne peut lui enlever son talent. Mais le karma allait bientôt le rattraper.
Une fois qu'il eut terminé sa douche, il enfila à la taille une serviette blanche, s'avançant vers le lavabo pour prendre son rasoir et retirer cette fine barbe qui commençait à lui recouvrir le visage. Ses pensées se focalisaient déjà sur son plaidoyer du matin, une grosse affaire, et donc un gros salaire à la clé. Qui irait sûrement payer ses prochaines vacances dans les Maldives. Une fois rendu plus présentable il alla dans sa cuisine pour se préparer un petit déjeûner, équilibré, car même s'il menait une vie effrainée, il tenait à garder une certaine forme histoire de ne pas prématurement devoir se retirer du métier. Et tandis que le café coulait dans sa cafetière dernier cri, il regagnait sa chambre pour se vêtir. Costume noir italien à $1.200, chemise blanche d'un grand créateur, ceinture du même cru et chaussures du même pays, autant vous dire que la moindre tâche le mettrait dans une rage folle, mais il faisait toujours en sorte d'éviter les impairs de ce type. Ses trois toasts, oeufs et jus d'orange et surtout son café avalés avec un peu de bacon, il rangea le tout dans le lave-vaisselle déjà bien rempli qu'il ignora totalement en le refermant du pied tout en avançant vers son salon où il avait poser la veille au soir sa malette qu'il saisit avant d'aller dans l'entrée enfiler son trench-coat noir et prendre ses clés posées sur le petit meuble de l'entrée. Parée pour aller bosser, son mug chauffant débordant de café encore bien chaud, il quitta donc son appartement...pour la dernière fois en tant qu'être vivant, citoyen de la planète, en tant qu'âme qui vive. Mais fallait-il y voir le signe du destin? Pas entièrement sûr.
Arrivant à son cabinet, il ne salua évidemment personne, et alla se barricadé dans son bureau en demandant qu'on ne le dérange que si ses clients arrivaient. Et la matinée défila vite, trop vite. Deux grosses baleines, pardon clients, étaient venus le voir, un d'eux, un promotteur immobilier connu dans tous le pays qui une fois de plus connaissait des problèmes avec une de ses employées qui l'accusait d'avoir les mains bien trop baladeuses, et l'autre, un propriétaire de chaine de restauration rapide qui s'était fait prendre par une inspection de l'hygiène. Peu importait pour lui les raisons, tout ce qu'il voyait au bout c'était son chéque. Et il montrait évidemment pour arrivé à cette fin autant d'entrain à défendre des types de ce genre là. Jouer les avocats du diable, rien de plus excitant pour lui, car comme chacun le sait, le Diable savait être généreux avec ceux qui vendaient leur âme. L'expression était peut-être un peu trop forte, mais il savait que la plupart de ses collègues n'en pensaient pas moins à son égard. Mais peu lui importait qu'on dise ça de lui dans son dos, qu'on le pense vénal et prêt à tout pour de l'argent. Il connaissait ce qu'il valait et c'est là tout ce qui comptait. Jusqu'à présent. Au déjeûner, il quitta son bureau pour aller prendre une heure de table, durant laquelle, invité par un ancien client reconnaissant, il se vit donc offrir un restaurant quatres étoiles, alors que les autres se contentaient très certainement d'un sandwich fait par leur femme ou de dieu sait quel autre repas bas de gamme. A ses yeux donc, rien à leur envier à ces gens là qui se contentaient de médiocrité quand ils pouvaient visés les sommets. Une fois de retour au cabinet, il se boucla une fois de plus dans son bureau, affairé à trouver les plus petits détails sur les plaignants adverses, un travail presque de reporter de journaux à scandales, qu'il défendait aussi très souvent ironie du sort. Oui, il fallait savoir sans aucun remords fouiller dans le passé, les habitudes des gens, en tirer à sa guise les éléments qui joueraient en sa défaveur pour s'assurer la victoire au procès. Il citait souvent ce proverbe "en guerre comme en amour, tout est permis". Et il envisageait chaque procès comme une bataille determinante dans l'issue de sa guerre. Et en fin stratège, il ne s'était jusqu'à lors jamais heurter à une défaite. De quoi lui laisser croire que rien ne pouvait lui résister quand il s'agissait de plaider devant une cour. Et après un coup de fil surprise, il sentit le frisson d'excitation habituel lui parcourit l'échine quand il raccrocha le combiné, après s'être entretenir avec un nouveau client qui promettait de le payer grassement s'il arrivait à le tirer d'affaire. Evidemment, il acceptait aussi d'autres cas, moins prestigieux, qui défrayait moins la chronique, car aussi froid soit-il, il avait tout de même encore quelque part, un reste de conscience en lui. Mais caché derrière tellement de défauts qu'elle se trouvait immanquablement toujours étouffée. Mais bientôt tout allait changé. Le fameux client sus-nommé lui donnait rendez-vous dans l'heure qui suivait dans un bar d'un hôtel prestigieux. Il se hâtait donc de sortir, enfilant sa veste et prenant sa malette avec empressement, pour quitter les lieux. Dans l'ascenseur qui le menait en bas, ils en surprit plus d'un en les saluant pour une fois. Non il n'était pas malade, mais ravi tout simplement, et il lui arrivait donc parfois de montrer encore une infime part de bonté et de politesse. En posant le pied hors de l'ascenseur après avoir entendu raisonner le "bing" habituel signifiant aux occupants que les portes venaient de s'ouvrir, il sortit le premier, mais à quelques pas de la sortie, il consulta son portable, dernier cri évidemment, puis sortit enfin du bâtiment, attendant à quelques mètres de l'entrée que la voiture promise par son client arrive. Mais il ne vit jamais la limousine arrivée et se garée à proximité. Une ombre s'étendait déjà autour de lui, grandissant bien trop rapidement pour qu'il puisse l'imputait à un nuage passant dans le ciel ou à toute autre chose pouvant expliqué cette soudaine obscurité. Relevant la tête, il aperçu alors l'espace d'une seconde la volumineuse silhouette d'un piano lui arrivé droit dessus. Un cri résonna dans ses oreilles, qui n'était pas le sien, sa gorge se serrant bien trop pour qu'il puisse produire un son et une seconde plus tard, l'obscurité devint totale.
Et peu après la lumière. Totale elle aussi, éclatante, d'une pureté qu'il n'avait jamais encore vu. Il se relevait péniblement, ne sachant s'il devait mettre ça sur le compte de sa mort douloureuse et fulgurante ou sur le choc en lui-même de réaliser sa propre mort. Il n'en revenait toujours pas, ce n'était qu'un mauvais rêve, il allait se réveiller ensuite en se maudissant d'être aussi idiot pour rêver pareilles choses, et surtout de ne pas avoir pour éviter tout ça, prit le soin d'avaler un demi comprimé de somnifère saupoudré d'un bon verre de scotsh avant d'aller se coucher. Mais les secondes s'égrainaient et rien ne changeait. Il était toujours là, dans son costume, seul dans ce nuage vaporeux. La paradis? Il n'aurait jamais cru arrivé là, car il savait ce qu'il avait fait dans sa vie, son comportement n'avait en rien celui d'un saint, il en était conscient mais n'avait jamais rien fait pour que celà change d'un iota. Mais évidemment, il n'était pas encore au bout de ses peines pour aujourd'hui, bien au contraire.
« Hey ho, y a quelqu'un? HEY HO! », lanca-t-il dans le vide, maugréant déjà comme un gamin impatient qui ne tolérait pas qu'on le fasse attendre de la sorte.
* Autres; Euh, j'ai eu pas mal de soucis à l'époque, ma carte graphique avait implosée, donc j'ai du la changer mais y a eu tout une histoire avec le SAV, bref à ne pas revenir j'm'étais faite supprimer, donc bon...
« WHO I AM REALLY »
* Âge; 24 ans * Prénom; Dydy * Fille / Garçon ?; Fille * Votre niveau Rp; 7/10, mais j'suis pas objective * Avatar; Megan Fox * Code;
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"OK PAR JOSH"
Dernière édition par Faust M. Harrolds le Sam 2 Jan - 10:24, édité 3 fois
Marilyn J. Stills
Petit(e) Prince(sse)
◊ Mon avatar : Ashley Greene ◊ Mes messages : 3762 ◊ Date de naissance : 34 ◊ Etude & Année d'étude : Ah parce qu'il faut faire des études pour enfiler des tenues de luxe et marcher droit sur un podium ? Bon bah tant pis on fera sans. ◊ Emploi(s) : Mannequin ; rêve d'être actrice. ◊ Date d'inscription : 31/01/2009
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Sujet: Re: FAUST ♦ Tonight I sold my soul to the devil Ven 1 Jan - 20:32
Haaa mais Re-Bienvenue ! Super Megan comme choix :<3:
Invité
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Sujet: Re: FAUST ♦ Tonight I sold my soul to the devil Ven 1 Jan - 20:33
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche (:
Andrea L. Baker
Petit(e) Prince(sse)
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Sujet: Re: FAUST ♦ Tonight I sold my soul to the devil Ven 1 Jan - 20:41
Bon retour sur WL ! ( C'est nos admins qui vont êtes contents (; ) Bon courage pour la suite.
Alexyz B. Parker
M O D O S ;
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Sujet: Re: FAUST ♦ Tonight I sold my soul to the devil Ven 1 Jan - 20:53
DYYYYYDYYYYY Oh, te revoilà, j`exige un lien après ta validation ! (: Rebienvenue parmi nous !
Winter Ashford
Canard en plasitque
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Sujet: Re: FAUST ♦ Tonight I sold my soul to the devil Ven 1 Jan - 22:01
Ohhh, Gabriel. Re-bienvenue parmi nouuus. ( aa ) Megaaaan *_* Très bon choix d'avatar . (: