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| Sujet: Joy Noah Essence { 100% } Jeu 7 Jan - 23:57 | |
| « OF YOU CHARACTER WE KNOW » |
* Nom & Prénom; Joy Noah Essence * Âge & Date de Naissance; 19 ans [ 13 Juin ] * Lieu de Naissance; London, Mayfair. * Lieu d'habitation; London, Oxford. * Profession / Job; 2eme année d'études, je fais serveuse tous les soirs ou presque à Pizza Hut, de 18h à 20h, ça remplit légèrement les poches. J'essaie aussi de revendre certains de mes clichés. * Loisirs; Photographie. * Groupe; Etudiants en Arts. * Parours; On a peur de la mort, mais on a peur de la vie, aussi. Comment expliquer sinon que l'être humain soit la seule espèce de sa petite planète à crier alors que le monde se dévoile à lui ? Trop de sons, trop de lumière, trop de couleur, trop de pression. Trop de tout. Il est loin le temps paisible où ne nous faisions que flotter, avec pour seul contact avec l'extérieur des vibrations, différentes selon les voix ou les intonations et celle reconnaissable entre mille, plus rassurante que les autres, car elle appartenait à l'enveloppe charnelle qui nous enveloppait, qui nous protégeait. Quelqu'un a dit : la peur de mourir n'est que le souvenir de la peur de naître. Une hypothèse que j'approuve. Comme tout un chacun, je n'ai pas fait exception à la règle, quinze minutes après que le douzième coup de minuit ai retentit, ce treize juin 1991, j'ai moi aussi poussé mon premier cri. Rares sont ceux à avoir un quelconque souvenir de leur naissance ou de leurs premiers jours, moi, je ne me souviens que d'une vague image, floue et rendue plus lumineuse par le temps passé. J'aime la faire ressurgir, de temps en temps, elle me rend mes forces, me donne l'espoir. Cette image, c'est un sourire, simple, éclatant, heureux. Les lèvres sont fines et celle du haut légèrement plus remplie que celle du bas, donnant un charme de plus à un visage que je ne discerne plus tant il a été usé par des années passées dans un coin de ma mémoire. Depuis, ma mère n'a pas changé. London, Mayfair. Où le quartier le plus aisé de la capitale. J'ai vécue ma petite enfance ici, gamine gâtée et pleine de joie à revendre dont la qualité de vie était en partie dû au budget plus que correct de son père. Je n'ai jamais réellement sû ce qu'il faisait, trop jeune pour m'en soucier, et incapable de tirer les vers du nez à ma mère une fois que celui-ci fut éjecté de notre vie par une bifurcation aussi brusque qu'incongrue du destin. Ce qu'il s'est passé ? Il y a que ma mère à rencontré quelqu'un d'autre, et ce quelqu'un d'autre lui a fait ouvrir les yeux sur la vie qu'elle menait avec ce mari qu'était mon père. Froid, distant et acharné au travail, on le voyait peu et lorsqu'il était là, ce n'était visiblement que physiquement, son esprit tournant toujours autour de ce boulot qui semblait passer avant sa propre famille. C'est avec ma mère que j'ai appris à faire du vélo, c'est avec ma mère que j'ai affronté mon premier jour d'école, c'est avec ma mère que j'ai fêté la plupart de mes Noëls, c'est avec ma mère que je suis partie en vacances - lui prétextant qu'il n'en avait pas le temps -, sur l'épaule de ma mère que j'ai versé mes larmes pour des raisons oubliées le lendemain. A y repenser, mon père n'était qu'un inconnu qu'on croisait brièvement de temps et temps et qui croyait que ses tentatives de paraître soucieux de notre bonheur avaient pour nous des accents de vérités. Mais elles n'en avaient point. Et à dix ans, j'étais déjà en mesure de le comprendre. Cette personne qui avait fait lumière sur notre existence devint bientôt pour ma mère bien plus qu'une simple connaissance, bien plus même qu'une simple amie. Or, c'était une femme. Elle s'appelait Lana Duchêne et elle était d'origine française. Journaliste, elle n'était que de passage à Londres et devait bientôt repartir pour son pays, la France. Là-bas, elle possédait une petite maison dans une des nombreuses villes qui faisaient la banlieue de Paris. C'est avec une certaine appréhension qu'elle était venue demander, sous le nez même de mon père qui pensait avoir à faire à une simple amie de sa femme, de l'accompagner. Une fois n'est pas coutume, il avait relevé brusquement la tête, tout à coup concerné. Ma mère ne manifesta qu'une légère surprise, elles avaient déjà dû en parlé entre elle, sans pourtant se décider. Ainsi, malgré les faibles protestations de mon géniteur, nous fîmes nos bagages et une semaine après, Londre était derrière nous et Paris constituait notre futur. Je sentais bien une certaine tension entre les deux femmes, elles en mourraient d'envie, je m'en rends compte à présent, mais soucieuse de ne pas me déstabiliser, elles n'osaient pas se toucher. Quelques rares effleurement des doigts étaient les seules marques d'affections qu'elles s'accordaient. Et puis, il y avait aussi cette intimidation de la façon dont les gens les regarderaient. La manière dont leur vie s'était brusquement retournée. Elles, des femmes qui depuis toujours croyaient pouvoir n'être attirées que par des hommes et qui, tombant nez à nez, avait vu cette certitude devenir mensonge. Je me suis vite habituée à ma nouvelle vie, mon père nous envoyait chaque mois une pension pour le moins généreuse. C'était peut-être là une façon de se faire pardonner de son manque d'attention, comme il le faisait toujours. Il croyait pouvoir nous acheter, que l'argent suffirait à notre bonheur. J'ai toujours su, bien que ma mère ait tenté de cacher la chose, que pour mes Noëls, mes anniversaires, mon père lui donnait un chèque et c'était elle qui choisissait pour lui. La somme mensuelle était au-dessus de ce dont il était censé donner, ainsi, le compte mis de côté étant censé servir pour mes études montaient plus rapidement que ce qui avait été calculé. J'avais beau aimer la France, aimer ma mère, aimer mon école, je n'aimais pas Lana. Je préférais encore l'absence de mon père à sa superficialité. Par mille et un moyen, elle tentait de m'amadouer, gagner ma confiance, mon amour inexistant envers elle. C'était du moins ainsi que je le voyais. Elle non-plus ne me portait pas en mon coeur et chacune de nous le savait. Sauf ma mère, on le lui cachait sous des sourires aussi amicaux que factices et des paroles gratifiantes de temps en temps. Je me suis faites quelques amis, j'ai appris la langue de Molière, et je n'ai pas oublié Londres... C'est le jour de mes quatorze ans, qui tombait miraculeusement un samedi, que j'ai reçu le cadeau qui, pour une bonne partie, influença mon avenir. C'était un appareil photo, maniable, passe partout et performant. Je l'avais reçu avec le sourire, car c'était ma mère qui me l'avait tendu, mais lorsque celle-ci annonça, avec la voix tremblante d'une gamine excitée que c'était Lana qui l'avait choisi, j'ai eu du mal à ne pas jeter le cadeau à l'autre bout de la pièce et à faire avec mes doigts le signe de croix pour se préserver de la marque du Diable. Ca restait malgré tout un beau présent et bien vite, mon temps libre se résuma à chercher à capturer tout ce que je pouvais de ces instants éphémères qui constituent notre présent et qu'ensuite, on nomme souvenirs. Tout ça appartient à présent au passé. J'ai fais mon choix, je me rend compte d'ailleurs qu'au fond de moi, j'ai toujours su que je reviendrais en arrière. Assise dans le train, la tête appuyée sur la vitre, je suis de retour vers Londres. J'ai mis du temps à persuader ma mère de me laisser partir. Je comprends sa motivation à chercher à me convaincre de rester encore une année ou deux, ce doit être dur de voir son enfant partir. Malgré cette nostalgie de laisser derrière moi le seul être qui me soit cher et quelques uns de mes amis, je suis heureuse, infiniment heureuse. La photographie est ma passion, et je sais que si je ne baisse pas les bras, elle constitue mon avenir. J'ai aussi l'espoir, tapis dans mon coeur, de retrouver quelques anciennes connaissances. Londres, me voilà.
* Description Morale; Happy. Ma mère m'appelait " sa gazelle " car j'étais toujours en train de sautiller partout, un sourire franc et joyeux plaqué sur le visage, et ce souvent pour des raisons simplissimes. J'aime vivre, j'aime rire, j'aime voir les autres rayonner. Naive? But sometimes surprising. J'ai le regard d'un enfant, et des questions plein la tête que je n'hésite pas à poser, sans aucune gêne. Cela suffit parfois à me faire passer pour quelqu'un de crédule. Ces personnes-là se retrouve alors souvent béates lorsqu'elle se rendent compte que derrière cette apparences, je raisonne bien. Parfois même bien mieux qu'elles. Not likely. Les reproches, je les prends comme des conseillent pour m'améliorer, ou alors je les ignorent superbement, selon de qui ils viennent. J'ai appris il y a bien longtemps à ne pas me soucier du regard que les autres portent sur moi, sinon, on en finirait plus de se ronger les ongles. Qui m'aime me suive, les autres n'ont cas m'éviter, m'oublier, faire comme si je n'existais pas. C'est la meilleur des choses à faire. Opened on the world. Observatrice dans l'âme, j'admire le monde sous toutes ses coutûres ainsi que les gens. On peut me trouver entêtée lorsqu'il s'agit de percer le secret de quelqu'un, car je n'ai absolument aucune patience. Je dépasse quelques fois les limites sans m'en rendre compte mais sachez que même lorsque vous m'aurez remis à ma place, je continuerais.
* Description Physique; On me dit souvent que je ne fais pas mon âge, que mon visage poupin, mon regard ouvert sur le monde avec l'émerveillement d'un enfant et ma petite taille me rendent plus jeune et sont comme une invitation à s'attacher à moi. Avec l'habitude, je ne prends plus gare aux mains amicales qui m'ébouriffent les cheveux comme on le fait aux gamins. J'apprécie même beaucoup cette marque de sympathie, ne voyant pas là un signe qui pencherait à montrer que l'on me considère comme une jeune fille immature et fragile qu'il faut protéger du monde cruel que nous avons nous-même conçu et devant lequel elle risquerait de se briser comme un fétu de paille. Avec le temps, on apprend à me considérer différemment, mon air d'enfant s'arrêtant à mon visage, le reste étant proportionné parfaitement comme un corps d'une femme de mon âge, en miniature. Je ne pratique presque pas de sport, ou alors très rarement. Aucune endurance et des muscles inexistants, je ne tiens jamais très longtemps et ce quelque soit l'activité physique donnée. La plupart du temps, mon regard de cocker effarouché m'apporte l'aide nécessaire pour une entreprise au-dessus de mes capacités, telle qu'aller chercher un objet hors de ma portée. Assez coquette sans être superficielle, j'aime me présenter sous mes plus beaux atoûts. Ainsi je n'hésite pas à souligner ma silhouette fine par un haut moulant et à réhausser le rose de mes joues par des couleurs voyantes. On me verra très peu en noir et blanc si mon humeur ne l'est pas elle même. J'aime la vie, la vivacité, les couleurs. Niveau maquillage, je fais plutôt simplement. Un peu de crayon noir et de mascara pour faire ressortir l'azur de mes iris ainsi que de la poudre pour donner un aspect velour à ma peau opaline et j'en suis pleinement satisfaite. J'aime essayer de nouvelle chose, ainsi, je suis capable de beaucoup changer d'une semaine à l'autre. * Plat préféré; Tout ce qui se fait au barbecue... ou presque. * Boisson préférée; Schweppes agrumes * Livre préférée; C'est justement quand on me demande lequel je préfère dans le tas, que je ne sais plus quoi dire. * Musique préférée; Rock, Pop principalement. * Couleur préférée; Noir & Vert. * Parfum de Glace préféré; Noix de Coco & Fruits exotiques * Odeur préférée; L'odeur des bougies d'un gâteau d'anniversaire que l'on vient d'éteindre. * Endroit préféré; Je sais apprécier la beauté que cache chaque lieux, aucun ne surpasse les autres. * Saison préférée; L'Automne. * Lieu de vacances préféré; J'ai une préférence pour les villes portuaires et les paysages de campagnes, mais tant qu'il y a du vert et de la vie, j'apprécie. * Pays préféré; La France. « « ANSWERS SOME QUESTiONS » » |
* Si vous pouviez changer une chose; La bêtise humaine [ en gros, ça fait du boulot. ] * Votre plus grand rêve; Aimer sans mesure et l'être en retour. * L'instant parfait; L'immortalisation d'un moment, d'une larme, d'un sourire, d'un souvenir... * Le plus beau jour de votre vie; Celui où j'ai découvert que le Père Noël n'existait pas, car il me faisait peur et que je redoutais le moment où il entrerait chez moi. * Où avez-vous trouvez le forum ?; Obsession * Double compte ?; Non * Exemple de poste;
- Spoiler:
La cour intérieur était sans aucun doute le lieu le moins sinistre du centre, malgré son état délabré. Ce n'était pas la beauté du lieu qui donnait cette impression - car niveau beauté, on peut faire beaucoup mieux - mais ce qu'il avait été. Là où poussait les mauvaise herbes, il n'était pas difficile d'imaginer des rangées de pensées, de tulipes et d'on-ne-sais quelles autres variétés de fleur. Il était facile d'imaginer la fontaine telle qu'elle avait du être, propre et luisante, surmontée par des anges lançant vers le ciel un regard amoureux, et laissant le vent emporter les notes muettes sortient de leur violons de pierre. Pour la plupart des lieux que renfermait Isolation, il relevait de l'impossible de les imaginer autrement, plus chaleureux, plus beaux... comme si tout avait toujours été ainsi. Ganaël ne connaissait pas l'histoire de sa nouvelle « demeure », mais il ne pouvait s'empêcher de penser que ça n'avait pas toujours été ainsi, qu'autrefois, Isolation se nommait autrement, un nom tel que « Château du Compte Machin », que les décors était de sation et que dans les couloirs, ce n'était pas des prisonniers maltraités mais des serviteurs qui déambulait, armés de balais ou transportant des plateaux portant une multitude de mets tous plus appétissants les uns que les autres avec quelques fruits brillants et sans aucun défaut. Le Centre, à la mort du propriétaire, aurait alors été légué à un descendant qui aurait eut une toute autre vision de l'utilité du château. Un héritié attiré irrésistiblement par le sang et la souffrance des autres, qui s'intéresserait à des cas de folie profonde... ou qui aurait vu Battle Royal et aimerait savoir ce que ça donnerait dans un lieu clos entre fous, dangereux et pauvres innocents. Un John aux horizons plus grandes qui ne se contenterait pas de faire entrer dans son délire qu'une ou deux personnes à la fois. Ou bien un scientifique acharné qui chercherait à voir si l'humanité peut survivre quand plusieurs personnes à la mentalité différente du commun des mortels se retrouvait piéger et sans aucun repère pour se localiser. Union ou affrontement ? Presque tout le monde, si on lui posait la question dans un lieu ouvert, agréable, et où on sait que l'on peut partir à tout moment, imaginons un parc à New York, prétenderait choisir l'alliance avec les autres contre le malfaiteur. Il sortirait alors la phrase dite et re-dite « l'union fait la force », mais une fois mis dans ladite situation, combien appliqueront ce qu'ils ont assuré ? Peu, très peu. Trop peu. Enfermés, maltraités, on devient comme des bêtes. Tout le monde devient suspect ou coupable ne notre sort. Plus personne ne semble digne de confiance. Alors on choisit d'être solitaire, et on élimine tout ce qui peut nous menacer. C'est nous, les humains, qui finalement sommes plus enragés que l'animal le plus dangereux. Pourquoi ne pas appliquer le même sort à nous qu'au pauvre loup qui aurait le malheur de tuer un mouton, alors que lui, au moins, c'est pour le bien de ses pairs. Pourtant, il nous arrive parfois de trouver quelqu'un en qui notre confiance qu'on pensait avoir effacer de notre vie renaît. En se réveillant dans un centre abritant les plus dangereux criminels, on se promet de ne plus jamais faire confiance à quiconque, ne se fier qu'à soit même, et puis une Lisa arrive, et nous oblige à réviser toutes nos promesses...
- Mmh.. Bien, enfin, disons qu'c'est pas pire que depuis mon arrivée ici..
Et pourtant, les choses ne se sont pas améliorées depuis que les rumeurs qui courent raconte l'arrivée en force d'un nouveau directeur. La cour était à présent déserte, hormis les deux jeunes gens et quelques autres personnes qui ne se rendaient sûrement pas compte que l'heure du couvre-feu arrivait à grand pas. Ce n'est pas ce dont Ganaël se préoccupait, il préférait dormir dehors, dans un fauteuil délabré du Salon et assis contre un mur. Bizarrement, il était plus rassuré. Au moins, à l'extérieur des dortoires, il pouvait courir, s'échapper si un danger menaçait et nombreuses étaient les cachettes. Mais dans l'espace exigue et malodorant des chambres, lorsqu'elles sont fermées à double tour, où s'échapper, si l'un de nos compagnons décidait tout à coup de nous tuer ?
- Je suppose que j'ai de la chance, pour le moment. « Être ici est déjà un manque de chance, mais qui sait ? Peut-être que si finalement, on pourrait tout aussi bien être mort. Qu'est-ce qui est préférable, à ton avis ? »
Le Chat sembla frissoner à l'intérieur de sa tête, il ne formula pas son avis, mais Ganaël le devina. Lui, l'Autre, ce qu'il aimait c'était le sang, la souffrance, la pénombre. En gros, il aimait Isolation où il trouvait tout ça à chaque instants, plus que ce dont il pourrait se contenter. Se rendant compte que la jeune fille était toujours debout, le jeune schizophrène l'invita à s'assoir et tapotant du plat de la main le rebord de la fontaine à côté de lui. Au même instant, hésitante, Lisa entama sa phrase. Sans la finir, comme si, se résignant à la dernière minute, elle préférait ne rien dire. Mais la curiosité des deux co-habitants avait eu le temps d'être réveiller et, chacun de leur côté s'imaginait déjà mille et une fin pour ce début de phrase.
- Dis..
La jeune fille détourna le regard, comme pour l'éviter, Ganaël savait ce qu'elle devait ressentir. Vouloir revenir quelques minutes en arrière pour ne rien dire, pour ne pas être confrontée à la curiosité de l'autre et ne pas être obligée de continuer, de le gêner, le blesser, ou l'offenser. Tout dépend de la nature de sa question. A sa place, le jeune homme aurait voulu qu'elle n'insiste pas et fasse comme si elle n'avait pas entendu. Il aimerait faire de même pour elle, mais c'était plus fort que lui. Se voulant encourageant, il répondit :
« J'vais pas te manger, continu. Je promet de ne pas réagir comme tu dois avoir peur que je réagisse. »
Il sourit. * Autres; Ca fait une semaine que je vous tourne autour, pesant le pour et le contre pour m'inscrire xD Vous l'avez deviné, le pour à gagné. x) * Âge; Huhuu, jme sens gamine, là (aa) * Prénom; Chloé * Fille / Garçon ?; ♀ * Votre niveau Rp; 5,5/10 * Avatar; Jessica Stam * Code;
- Spoiler:
OK BY EMY
Dernière édition par Joy N. Essence le Sam 9 Jan - 19:00, édité 22 fois |
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