◊ Mon avatar : Ashley Greene ◊ Mes messages : 3762 ◊ Date de naissance : 35 ◊ Etude & Année d'étude : Ah parce qu'il faut faire des études pour enfiler des tenues de luxe et marcher droit sur un podium ? Bon bah tant pis on fera sans. ◊ Emploi(s) : Mannequin ; rêve d'être actrice. ◊ Date d'inscription : 31/01/2009
| Sujet: Marilyn « What do you mean I'm not blond ? Of course I am. » Sam 12 Déc - 16:47 | |
| « OF YOU CHARACTER WE KNOW » |
« Je ne veux pas être riche. Je veux être merveilleuse. » MARYLIN MONROE * Nom & Prénom; Marilyn Jane Stills. « Un nom comme ça qu'ils m'ont choisi. Le nom de l'idole de ma mère ; elle aurait voulu que je lui ressemble. Manque de chance, physiquement je suis plus Audrey que Marilyn. » * Âge & Date de Naissance; Née le 11 Juillet 1989. « Cette année j'ai eu vingt ans. Il paraît que c'est important. » * Lieu de Naissance; Liverpool. « Petite, je disais toujours dit que je partirai. Je l'ai fait. » * Lieu d'habitation; Oxford. « C'était plus fort que moi. » * Profession / Job; Mannequin ; rêve d'être actrice. « Tu te dis que ça fait superficiel, mais qu'au fond peut-être je suis une exception à la règle de ces minettes sans cervelle qui ne font que courir après les tendances ? Tu as faux. Je suis en plein dedans. » * Loisirs; « Faire la fête. » * Parours;
Chapitre Premier _Marilyn ? Une Erreure de Jeunesse.
Elena Woodward était une femme pleine de vie. Très jeune encore, à peine vingt trois ans, elle faisait des ravages auprès des hommes et rêvait de trouver le Grand Amour. Les mecs adorés de toute la fac', ce n'était vraiment pas son truc. On ne peut évidemment pas dire en tout honnêteté qu'elle n'avait pas couché avec chacun d'entre eux mais ils étaient trop conventionnels à son goûts, et surtout trop jeunes. Un vendredi soir parmi tant d'autres, Elena était sortie en boîte avec sa bande. A peine entrée, elle le repéra. Aussitôt, elle attira sa plus proche amie contre elle lui dit « C'est Lui Andy, j'en suis certaine ! - Lequel ? - Le chanteur du groupe de ce soir, là-bas !» Et ce fût de cette manière, qu'en moins d'une minute, Elena décida qu'elle avait trouvé l'Homme de sa vie. Tout se déroula par la suite comme elle l'avait prévu. Ils passèrent cette nuit là ensemble et la jeune femme réussit à mettre le chanteur sous son charme. Il vécurent une relation fusionnelle pendant plus de six mois, jusqu'au jour où Elena réalisa qu'elle était enceinte. Comment était-ce possible ? David Stills( le fameux chanteur ) et elle avait toujours fais attention à ce que ceci n'arrive pas. Désemparée, la jeune femme essaya de le cacher à tous et à toutes jusqu'à ce que ça soit trop voyant. Quand David compris enfin tout ce qui se tramait derrière son dos, il eut comme réaction de prendre la fuite, et ne refit plus jamais surface, évidemment. La mère d'Elena accepta de s'occuper de sa fille jusqu'à la naissance de son bébé mais elle la prévint qu'une fois cette dernière mise au monde, il était hors de question de lui adresser de nouveau la parole. Mais la vie fait parfois bien les choses. Alors que la jeune mère aurait du se retrouver seule à partir du 12 juillet, date prévue pour la naissance, James Grant, médecin en charge de Miss Woodward succomba à la beauté de sa patiente. Le bébé arriva finalement avec un jour d'avance, ce qui permis au nouveau couple de se fréquenter hors de l'hôpital. Elena du se rendre à l'évidence, c'était James l'Homme de sa vie et pas David, et leur relation dure aujourd'hui encore, même si celle-ci ne tient qu'à un fil. Vous verrez ceci plus bas. En femme comblée, Elena se maria et s'installa avec James deux mois plus tard. Avec le couple et le nouveau-né eménageait aussi un enfant que James avait eu quelques années auparavant on ne sait pas trop comment et qu'il avait gardé avec lui, on ne sait pas trop pourquoi : William Grant.
Chapitre Second _Une leçon trop difficile pour une fillette de 11 ans.
En hommage à son idole, Marilyn Monroe, Elena décida de bâptiser sa fille du même prénom que la grande célébrité. La plus jeune enfance de Marilyn Stills ( qui portait tout de même le nom de son père biologique, au grand agacement de James ) fût presque "normale" si on oubliait le fait qu'elle avait une mère âgée d'environ dix ans de moins que celles de ses amies et qu'elle vivait avec un père qui n'était pas le sien. Voir cette famille se construire avec bonheur après tant d'épreuves soulageait et réconfortait énormément la mariée, qui était persuadée de mener à présent une vie idyllique. Malheureusement, Mme Grant, ex Miss Woodward, n'avais jamais appris qu'il fallait se méfier des apparences. Sa fille, quand à elle, l'appris bien plus tôt. Plus précisément c'est l'année de ses onze ans qu'elle compris que son petit conte de fée n'était qu'un rêve, qu'un mensonge. Mary avait toujours su que James n'était pas vraiment son père. Mais jusqu'à cette soirée là, c'était tout comme. Elle l'appellait "papa" et l'aimait comme tel. Je l'ai déjà dis, jusqu'à cette soirée là. Cette soirée là, ou plus exactement un mardi 15 janvier de l'année 2ooo. Marilyn était supposée passer une soirée chez une amie et y passer la nuit. Seulement ce jour ci, les deux fillettes se disputèrent pour une histoire de place assise ou quelque chose d'environnent. Énervée et surtout très déçue, elle était donc rentrée chez elle, seule. Sa mère et son frère n'étaient toujours pas rentrés de vacances, ils ne revenaient que le lendemain, et c'était James qui se chargeait de la petite. Arrivée dans son appartement, celle-ci trouva la porte ouverte et entendit une voix de femme. Sa mère était déjà rentrée ? Parfait ! Elle allait pouvoir se blottir dans ses bras. La voix grave de James se distingua également, chuchotant "qu'ils avaient tout leur temps" et "qu'elle ne rentrait avec William que demain". Marilyn ne comprenait pas, elle était trop jeune. Elle entra dans l'appartement, chercha sa mère partout jusque dans sa chambre. Ce n'est pas elle qu'elle trouva mais une autre femme qu'elle avait déjà vu quelque part auparavant. A l'hôpital sûrement. Marilyn ne comprenait pas, elle était trop petite, et partit se coucher dans son lit. Ce n'est que quelques mois plus tard, grâce à un film télévisé, qu'elle réalisa ce qui c'était réellement passé. Elle ne donna plus jamais du "papa" à James et réduisit au maximum les liens avec celui-ci.
Chapitre Troisième _Un conte de fée sans happy end.
La seule explication que se fournit Elena de ce brutal changement d'attitude était que sa fille connaissait une crise d'adolescence prématurée. Elle avait lu dans un magasine que ça arrivait parfois, et qu'il ne fallait pas s'en inquiéter. Elena ne s'en préoccupa donc pas outre mesure. Si Marilyn avait d'abord placé sa mère à la place de la victime de ce qu'elle appelerait plus tard un homme à femmes, et lui en voulu ensuite ennormément. Comment pouvait-elle être aussi aveugle pour ne pas voir que son mari et sa fille de n'adressaient plus la parole ? Un soir, résolue à mettre les choses au clair, celle qui était à présent une adolescente pris son peu de courage à deux mains et tocca au bureau de sa mère. Ca avait du donner quelque chose du genre " Maman James t'as trompé avec une autre femme. Avec d'autres femmes. " et pour seule réponse un sourire naïf, même pas taché de peine accompagné de ces quelques " Ce n'est pas si grave tu sais ma chérie, quand on aime on pardonne. "
Chapitre Dernier _L'amour c'est la vie, mais l'amour est une merde. Donc ... ?
Alors c'était ça l'amour ? C'était devenir bête jusqu'à tout pardonner ? C'était abandonner l'éducation de sa fille pour éviter la colère de son mari ? C'était se laisser critiquer sans cesse ? Et bien alors, Mary ne voulait pas de l'amour, et elle n'en voudrait jamais. A 17 ans, elle n'avait pas pu s'en empêcher, la jeune femme partait de chez elle ; si on peut appeler chez soi un endroit où plus personne ne vous adresse la parole. Ses parents ne prirent même pas la peine de partir à sa recherche : ces dernières deux années avaient été trop remplies par ses gamineries de drogue, d'alcool et de mauvais résultats scolaires. D'ailleurs étaient-ce réellement des parents ? Toujours est-il que Mademoiselle Stills se retrouvait deux jours plus tard à Londres, sans connaître personne, enfin libre. Très vite elle se fit remarquer par un jeune agent, Charles Danison, qui décida qu'il voulait faire d'elle la nouvelle chérie du monde de la mode. Déjà influent malgré son jeune âge il lui mit en tête qu'elle n'avait aucune chance de devenir actrice, et qu'il fallait qu'elle lui fasse confiance. Que trop joyeuse de pouvoir atteindre le confort et un nom sans aucun difficulté, la jeune anglaise se laissa faire. Tout se passa exactement comme prévu depuis ; Marilyn était plus ou moins connue, et enchaînait contrat sous contrat toujours sous le consentement de Charles, elle gagnait très bien sa vie pouvait s'amuser autant qu'elle le voulait. Tout allait très bien donc, sauf peut-être ce test de grossesse positif, qu'elle a fait dimanche dernier...
* Description Morale; « De la quoi ? De la morale ? Ah non désolée. » Aucune morale. Aucune consigne ; seulement un credo : s'amuser, dans le too much si possible. Maintenant que vous savez tout de sa vie je suis sure que vous n'avez pas trop de mal à comprendre pourquoi. Les règles de vie ne sont pas faites pour elle, et elle n'en tient pas compte le moins du monde. Si vivre c'est transgresser les règles, alors Mary n'a même pas de vie puisqu'il n'en existe aucune à ses yeux. Faire dans l'excès, dans le cent pour cent, dans le trash même parfois, ce n'est que justice dans un monde où la société se voit forcée d'obéïr à un certain conformisme. Si vous y réfléchissez bien les vie des autres sont en fait une seule et même vie plus ou moins adaptée à certains facteurs : se comporter bien ; déconner. Se compter bien ; déconner. Se comporter bien ; déconner. Il y a des gens plus ou moins déconneurs certes, mais c'est tout. Alors la voilà, elle, Marilyn Stills, qui veut comme toujours être l'exception à la règle, celle qui fait tout le contraire de les autres et qui aura tout essayé. Et si ça la mène à vivre plus la nuit que le jour, et ben tant mieux. Foutre sa vie en l'air ? Non mais vous plaisantez. Foutre sa vie en l'air c'est avoir du mal à se réveiller le matin pour aller faire un travail que l'on aime pas, qui en plus ne nous rapporte pas autan d'argent que l'on ne le souhaiterai, devoir faire l'hypocrite toute la journée avec des collègues que l'on aime pas, rentrer chez sois exténuée et devoir s'occuper de trois mômes jusqu'à 1ohoo, s'engueler avec son mari parce que ça fait trois moi qu'on a pas eu de sexe et finalement s'endormir, déjà vieille avant l'âge. Ca, c'est rater sa vie. Mais passer sa jeunesse à faire la fête, provoquer tout le monde n'impore quand, finir bourrée-défoncée deux fois par semaine et faire un aller-retour au commisariat tout les mois ; tout en pouvant exercer le métier de mannequin qui vous rapporte très vite beaucoup d'argent alors que vous devez seulement vous faire chouchouter et sourir devant un appareil photo, ça c'est s'amuser. Ca s'est vivre. Et vivre bien . Alors si on doit mourir à 40 ans pour mener cette vie la plus tôt c'est quoi le problème ? Vu que de toute manière à 40 ans on a plus assez de punch pour vivre ainsi. Bon ça va, je pense que vous avez saisi le côté party-girl. Et le reste alors ? Les amis, la famille, les amours, tout ce qui constitue les séries à l'eau de rose que vous regardez chaque soir et qui occupe les pauvres vies des femmes situées plus haut ? Le reste, on en a rien à faire. * Description Physique; Grande ( 1m75 ). Brune. Mince, très mince. Des yeux bleus, évidemment. Pas ennormément de formes, malheureusement. Des jambes qui ne finissent jamais. Des cheveux lisses. Une peau claire et douce. Des mains plus-fine-tu-meurs. Des lèvres fines également. Bref, plus Audrey que Marilyn. « Désolée maman, mais la blonde au belles courbes représentative du sex-apeal des années 50 ce ne sera pas moi. N'empêche que tu pourais être satisfaite, je suis la représentative du sex-apeal d'ajourd'hui. » Un sourire malicieux, un long coup. Des lignes si précises qu'on a l'impression qu'elle a été peinte par Michel Ange. Des petits pieds ( elle chausse du 37 ). Pas lourde, bien sûr ( 50 kg pour sa taille, sans régime ). Et musclée, plus qu'il n'y paraît à dire la vérité. Une attitude arrogante, même quand elle est immobile, des gestes discrets qui dévoilent le jeu constent chez elle de la séduction. Deux tics aussi : lever le sourcil gauche à tout bout de champs et se passer la main dans sa chevelure. Une voix plutôt grave et toujours sure d'elle. Des dents blanches détartrées tous les mois. Pas de tâches de rousseurs, quelques gruns de beauté. Des longs, très longs cils bruns et des sourcils fin qui n'ont même pas besoin d'être épilés. Voilà écoutez, je pense qu'on a fait le tour. Ah non, très important : un petit tatooage dans le creux de poignet gauche avec une petite ancre. « L'idée d'être un symbole me déplaît, mais si je dois être le symbole de quelque chose je préfère que ce soit du sexe. » MARILYN MONROE. * Plat préféré; « Quelle question. La salade verte comme toutes les mannequins dignes de ce nom ! Bien sûr que je suis sèrieuse. Je vous assure. » * Boisson préférée; « Le champagne. » * Livre préférée; « Pride and Prejudice. » * Musique préférée; « Jazz ; Saoul. » * Couleur préférée; « Le noir. » * Parfum de Glace préféré; « Yahourt 0%. Non cette fois je plaisante ; fruits des bois. » * Odeur préférée; « L'odeur du Coco Mademoiselle, de Chanel. » * Endroit préféré; « Les bars de Londres. » * Saison préférée; « Automne. » * Lieu de vacances préféré; « N'importe où, du moment que ce soit une grande ville. » * Pays préféré; « La France. » « « ANSWERS SOME QUESTiONS » » |
* Si vous pouviez changer une chose; Ma famille. * Votre plus grand rêve; Etre acrtice. Mais ce sera pour une autre vie. * L'instant parfait; Le moment où j'arrive à ne plus penser à rien. Souvent grâce à quelques produits que je ne citerai pas. * Le plus beau jour de votre vie; Mon arrivée à Londres, I guess. « Avant le mariage, une femme doit faire l'amour à un homme pour le retenir. Après le mariage, elle doit le retenir pour lui faire l'amour. » MARYLIN MONROE * Où avez-vous trouvez le forum ?; C'est trop vieux pour moi, je sais plus (a). * Double compte ?; Nop. * Exemple de poste; - Spoiler:
Un jour quelqu'un m'a dit : « Si tu veux vraiment avoir l'air d'une femme quand tu marches avec des talons, il faut qu'on entende deux petits bruits très rapprochés qui se suivent à chaque fois que tu pose ton pied au sol. Celui de ton talon, et celui du bout de ton pied. » Une paire de chaussures à talons, c'est comme une drogue. Tout du moins, pour un certain type de femme, comme Katherine par exemple. Cela peut paraître futile dit comme ça, mais le sentiment qu'on a lorsqu'on est dans une tenue adapté et avec des chaussures à talons apporte à ces femmes là une assurance, une chose en plus. Peut-être parce ce qu'on est plus haut, donc on se sent plus important, ou alors parce que marcher avec des talons force un certain déhanché très naturel caractéristique de la féminité. Ou peut-être pour autre chose, sûrement pour autre chose. En tout cas, le résultat est là ; on souffre mais on se sent mieux. Paradoxale ? Sadique ? Masochiste ? Peut-être, mais aussi bienfaisant.
[...]
Le dossier ne faisait que quelques pages, et pourtant, Kate avait l'impression de le sentir peser lourd comme quinze kilos dans son minuscule sac à main. Dans le taxi qui la menait au commissariat, elle le sortit une énième fois afin de le relire et de traquer la moindre faute. Ses mains fines fouillèrent dans l'accessoir en cuir et retirèrent quelques feuilles blanches d'une pochette mauve. Les feuilles placées sur ses genoux, elle lut :
Pour la PBC ( Police de Baltimore City ) ; Rapport classé Confidentiel ; Relation Nathan Stevens - Katherine Wellinghton Affaire Elizabeth Wellighton.
Le simple fait de lire ces noms familiers sur un papier si formel firent changer d'avis à la jeune américaine, qui replaça rapidement le dossier dans son sac, et ferma ce dernier d'un coup sec. Mademoiselle Wellinghton avait beaucoup tenu il y a quelques jours à obtenir ces quelques feuilles. Elle avait usé de tous les contactes de sa famille afin de parvenir à en emprunter une copie durant trente-huit heures sous le serment du secret. Et pourtant, elle ne l'avait lu qu'une fois. Une fois, il y a deux petites heures uniquement, n'ayant pas eut le courage de le faire plus tôt. Pas eut le courage, ou pas eut la volonté...
Le quart d'heure qu'elle avait passé à parcourir chaque ligne rédigée par la brigade de Baltimore avait été une sorte de supplice. Chaque mot y avait été choisi avec mille précautions, afin de ne pas paraître subjectif mais de ne toutefois déplaire à personne. Et chacun de ces mots, qui devraient pourtant la ravir puisqu’ils étaient tout de même très nettement à son avantage, ne paraissait que mensonge, ornement, idée reçue. Il était inscrit dans le rapport : « Lors de leurs années de lycée, Monsieur Stevens commençait à faire des avances qui importunaient Mademoiselle Wellinghton. Cette dernière essaya maintes fois de le lui faire comprendre, mais le jeune homme s’obstinait. » Avec les mots de Kate ; ça aurait donné quelque chose plus voisin de « On était les amis parfaits, on s’était promis de ne jamais rien gâcher et il a fallu que tu deviennes comme tous les autres. Qu’est-ce que je pouvais faire ? ». Dans une version de son ami, cela sonnerait encore différemment. Cette version changerait aussi chez les familles des principaux intéressés et encore plus chez leurs amis. C’était là tout le fond de l’affaire ; à présent que toute la ville s’en mêlait, il fallait trier les informations. Choisir les vraies et les fausses.
A présent, la voiture noire qui servait de transport à la jeune femme brune s’engageait dans une grande avenue. Le commissariat n’était plus très loin, et Katherine se dit qu’un peu de marche lui ferait du bien. Elle arrêta donc le chauffeur, paya la grande somme affichée sur le petit écran noir sans même y prêter la moindre attention et sortit de l’automobile. Dehors, le temps était idéal à quelques minutes de marche à pied, même sur des talons hauts de sept centimètres. Plus elle se rapprochait du bâtiment privé, plus elle était pressée d’y arriver, histoire d’en avoir finir avec tout ça. Le bâtiment était grand mais familier à la demoiselle qui y passait régulièrement de longues heures dans des salles d’interrogatoire, et celle-ci ne mit que quelques minutes à rendre le dossier avec les formules de politesse appropriées et à ressortir aussitôt par l’entrée principale cette fois-ci.
Sur les marches, Kate ne mit pas longtemps à le reconnaître. Elle en mis encore moins pour respirer un bon coup et à décider de l’aborder. Seulement la situation était plus délicate que d’habitude. Si Wade se trouvait sur les marches du commissariat, c’était sûrement pour la même affaire que Katherine, et étant donné qu’ils n’avaient pas le même vision des choses, mieux valait éviter les contentieux. Choisissant avec précaution ses mots, elle se posa derrière lui et lâcha ;
« J’ai toujours un problème avec toi ; tu es à la fois têtu et impossible à contredire, proche mais inaccessible, attirant mais… fumeur. »
Les contradictions étaient la base de leur relation. Avec la provocation. Ils ne pouvaient jamais être pleinement satisfaits mais pas non plus entièrement indifférents. Là par exemple, Katherine n’aurait qu’une envie à savoir celle de remplacer la cigarette à la place qu’elles occupaient dans les lèvres du jeune homme mais elle était constamment observée, devait rester intouchable et surtout détestait la fumée. Sans être le moins du monde gênées, elle regarda la cigarette et constata qu’elle n’était que commencée. Tant pis, il allait devoir la jeter. Sans plus tarder, elle s’engouffra dans le sujet sensible, toujours à la recherche de plus d’informations
« C’est inhabituel de te voir dans le quartier ; même si je ne suis toujours pas invitée je crois savoir que tu vis plutôt loin non ? »
Wade s’était levé à présent. Malgré les sept centimètres de talons, il était toujours nettement plus grand que la femme qui lui faisait face, et semblait pouvoir la kidnapper à tout moment. Il était très musclé, elle était toute frêle. Logiquement, elle ne devrait pas faire le poids. Mais les caractères font bien souvent la différence. Sans ciller, elle le regarda droit dans les yeux, puis fixa la cigarette. C’était quand il voulait… * Autres; J'espère que les citations "choc" ne sont pas un problème. C'est Marilyn quoi (: Et je suis super heureuse que WL réouvre ! * Âge; 15 . Si si, j'ai pris un an de plus = D * Prénom; Léonor. Mais c'est Mary ici :<3: * Fille / Garçon ?; Fille. * Votre niveau Rp; A-vous-de-juger.com /10 ( Je sais tout le monde a déjà fait cette blague. Mais vous m'avez déjà vu RP so ... ) * Avatar; Ashley Greene. La première brune qui incarnera Mary. ( Et non, je n'aime pas spécialement Twilight) . * Code; - Spoiler:
Okay par Josh
Dernière édition par Marilyn J. Stills le Dim 13 Déc - 13:07, édité 4 fois |
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