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◊ Mon avatar : Gaspard Ulliel ◊ Mes messages : 2042 ◊ Localisation : Dans tes rêves... ◊ Mon âge : Lost... ◊ Etude & Année d'étude : L'école de la vie... ◊ Emploi(s) : Agent de stars ◊ Date d'inscription : 26/01/2009
Moi et mon ego MES RELATIONS: CITATIONS: MES TOPICS SONT : F e r m é s
Sujet: Cassian Smith - OMFG! Lun 14 Déc - 19:07
« OF YOU CHARACTER WE KNOW »
* Nom & Prénom; Cassian James Smith * Âge & Date de Naissance; 25 ans, né le 3 Janvier 1984 * Lieu de Naissance; Dublin * Lieu d'habitation; Londres (quartier à définir) * Profession / Job; Agent de star dans le mannequinat plus particulièrement. * Loisirs; Cassian est un accro de l'adrénaline, il aime pratiquer toutes sortes d'activités à sensations fortes. Son outil d'adrénaline préférée: la moto, en circuit, sur la route ou en moto cross, plus c'est dangereux et plus ça lui plait. A part cela le jeune homme a un véritable talent pour l'art mais ça, il n'en dira jamais rien. Dans son appartement une petite pièce fermée à clé est remplie de tableaux, peintures et photos en tout genre et le jeune homme vous mentira surement si vous lui demandez à quoi sert le piano à queue qui trône dans son salon : "un outil d'ornement rien de plus qu'un vulgaire objet de déco" vous répondra t'il nonchalamment sans pour autant vous avouer que c'est un véritable virtuose de la touche blanche. Outre cela le jeune Smith est un oiseau de nuit, faire la fête, boire et avoir une vie sexuelle explosive sont ses activités les plus communes lorsqu'il ne travaille pas. * Groupe; Gentlemen
« TOUCH MY BODY »
* Parours;
- "Je vous sers quelque chose à boire?" - "Et bien, un grand verre d'eau si vous avez je veux bien, merci." - "De l'eau? Vous êtes bien professionnelle, même pour une journaliste..." - "Et oui, je préfère être lucide lorsque je fais des interviews..." - "Très bien, voila, tenez, un grand verre d'eau." - "Merci, donc, on peut commencer?" - "Je ne vois pas en quoi mon histoire personnelle vous intéresse, je pense que celle de Mary serait plus appropriée pour faire la une des tabloids, c'est une star et je ne suis que son agent, un businessman de plus, rien de bien intéressant en somme..." - "Je vous assure que votre passé en intrigue plus d'un, racontez moi s'il vous plait..."
Il y eut un long moment de silence durant lequel Cassian fit distraitement tournoyer son verre de téquila entre ses doigts avant de finalement soupirer.
- "Très bien." - "Parfait je prends de quoi noter et on commence..." - "Et bien, je suis Cassian James Smith et je suis né à Dublin le 3 Janvier 1984. Tout ce que je sais c'est que je suis né chez moi, ma mère Helena Smith a accouché dans son lit, mis à part ça je ne me souviens de rien. En outre ma mère n'étant pas très "photos souvenirs" je n'ai même pas un simulacre de mémoire sur ma petite enfance. Donc on va directement passer au printemps 1987, mon frère William est né à cette période et c'est là que l'histoire prend une autre tournure. Mon... géniteur, est parti, il a abandonné femme et enfants. Pourquoi? Parce que nous étions pauvres, très pauvres et que la charge de deux enfants était insurmontable pour lui... Peut être est il parti pour d'autres raisons mais je n'en ai pas connaissance. Il nous a donc laissé. Ma mère était femme au foyer et donc sans emploi, sans compter sur le fait que le départ de son mari l'a complètement anéanti. Je me rappelle d'elle, errant, elle n'était plus que l'ombre d'elle même. On a longtemps vécu grâce à la générosité, ou pitié appelez ça comme vous voulez, des voisins. De temps à autre dans un sursaut de lucidité ma mère allait faire des petits boulots et ramenait de quoi manger le soir... une vraie vie de palace quoi. Quand j'ai été en âge de comprendre notre situation, vers 5 ans, j'ai été faire des petits boulots pour les voisins, après l'école et même parfois à la place de l'école. Je ne ramenais certes pas de quoi faire vivre notre famille mais en économisant j'ai pu acheter de nouvelles chaussures à William ou des banalités du genre qui pour toute famille moyenne semble acquise mais qui pour nous était assez exceptionnelle."
Il s'arrêta un instant, prenant une gorgée de son verre.
- "Nos petits moments de joie nous les trouvions, William et moi chez une voisine, une vieille femme plus ridée qu'un pruneau qui avait une maison de vacances à Dublin. Elle n'était pas souvent là, mais lorsqu'elle était là elle nous accueuillait à bras ouverts dans sa maison qui sentait toujours le tabac froid. Elle nous faisait des lasagnes, les meilleures que j'ai jamais mangé d'ailleurs. Je me souviens encore du visage de Will barbouillé de sauce tomate, et elle riait à gorge déployée de le voir ainsi. Je me débrouillait toujours pour en ramener un peu avec moi, notre mère n'en voulait pas, elle vouait une haine féroce et incompréhensible à cette vieille dame, mais au moins il y en avait encore un peu pour Will. C'est elle qui m'a appris à jouer au piano, la première fois qu'elle a vu mes mains elle s'est écriée de sa voix rocailleuse "Mon Dieu, de vraies mains d'artiste, bien qu'abimées par les basses besognes. Je vais en faire de vraies mains de virtuose..." Elle était professeur de piano et elle me séquestrait presque pour que je joue encore et toujours plus...Ma mère grommelait lorsque je rentrais, "Vieille mégère" qu'elle disait... De toutes façons ma mère n'a jamais eu un mot gentil pour qui que se soit autre que son époux. La plupart du temps nous vivions dans un climat d'indifférence pure. Elle nous jaugeait mon frère et moi, dardant sur nous un regard tantôt méprisant, tantôt dédaigneux. Parfois lorsqu'elle craquait elle se mettait à hurler, il fallait qu'elle déverse sa rancoeur. La plupart du temps j'ai toujours réussi à éviter à Will de subir ses sautes d'humeur, j'envoyais mon frère dans notre chambre ou dehors faire une besogne aussi inutile que superficielle, dans le seul but qu'il ne soit pas lui aussi la cible du venin de ma mère. Elle avait besoin, je crois, de déverser sa rancoeur et j'étais là pour qu'elle puisse se défouler. Elle criait toujours les mêmes choses : "Tout est de ta faute, si tu n'étais pas venu au monde ton père serait encore là et on ne vivrait pas dans la misère. Si j'avais su je t'aurai abandonné dans la rue à ta naissance. Tu n'est qu'un bon à rien, je me demande comment j'ai pu enfanter un être aussi abjecte. Tu m'as tout pris je te déteste, je te hais, j'aimerai te voir mourir...", et d'autres banalités du genre. Elle finissait souvent pas me mettre une gifle ou me secouer dans tous les sens, son délire continuait de longues heures durant ou elle se balançait d'avant en arrière en répétant que les enfants était le poison du couple et toutes sortes d'ignominies du même genre..."
- "Mais c'est horrible..." - "Non ce n'est pas horrible. C'était une femme blessée. Nous avions un toit et de quoi survivre, ce que d'autres n'avaient pas... et puis malgré tout ce qu'elle a pu dire ou faire, elle était là, elle n'est jamais partie, je crois que ça veut dire qu'au fond d'elle même elle nous aimait, au moins un peu."
Cassian passa une main lasse dans ses cheveux d'ébène.
- "Les années se sont écoulées, routinières. C'est au Noel de mes 15 ans que les choses ont changé. Pour la première fois ma mère nous a emmené à l'église le soir de la saint sylvestre. Elle nous a assis sur un banc à l'église et est montée au clocher. Je l'ai suivi, je savais que quelque chose n'allait pas et je l'ai trouvé debout sur la rambarde, le vent froid fouettant son visage émacié et fatigué... Elle n'a pas crié, ne m'a pas frappé ni reprimandé pour ma désobéissance, elle a simplement dit "Pardon, pardon pour tout" et elle s'est jetée du haut de l'église. Elle est morte sur le coup. - "Mon Dieu, ça a du être affreusement traumatisant." - "Pas tant que ça, j'ai du me reprendre très vite, magouiller pour me faire émanciper à 15 ans de sorte à ce qu'on ne nous sépare pas mon frère et moi. J'ai arrêté l'école, ou je n'y allais vraiment qu'en dilétante, et j'ai accumulé les petits boulots. Quand j'ai eu 18 ans j'ai recontré une fille, elle en avait 16 et elle s'appelait Jennifer Hills. C'était la plus belle fille que j'ai jamais vu, une rousse aux yeux verts et à la peau de porcelaine. Ca a été le coup de foudre. J'ai fait de nombreux petits boulots dont un qui m'avait amener dans une agence de pub, à coup de culot et de bidouille j'ai réussi à lancer Jenny sur les podiums. Le succès a été immédiat et elle est devenue une star. Nous avons déménagé à Londres, elle avait tout quitté pour moi et s'était brouillée avec toute sa famille et ses amis. C'était une fille de bonne famille, tout le monde désaprouvait sa relation avec un moins que rien. Jenny, Will et moi nous sommes donc établi à Londres et ça a sûrement été une des plus belle période de ma vie. Tout nous a souri, trois années durant... Et puis à 19 ans Jenny m'a annoncé qu'elle était enceinte. Elle était si heureuse, et moi, moi... j'ai... pété un câble, littéralement. L'image de ma mère et de mon enfance a tout embrouillé, je me souviens lui avoir ordonné d'avorter, l'avoir insulté j'ai dit tellement de choses horribles sans m'en rendre compte. C'est comme si j'avais vomi toutes les paroles de ma mère... Plusieurs jours durant on ne s'est pas vu elle et moi. J'ai beaucoup réfléchi et je me suis dit que Jenny n'était pas ma mère, que je n'étais pas mon géniteur et que nous allions fonder une famille. Je voulais m'excuser auprès de Jenny, lui dire que je l'aimais et vivre avec elle jusqu'à ce que la mort nous sépare... J'ai... j'ai retrouvé Jenny dans une chambre d'hotel, elle avait avalé des boites et des boites de cachets et elle était morte avant même que je ne la retrouve."
- "Je suis désolée..." - "Vous n'avez pas à l'être, c'est moi qui l'ai tué, avec mes mots et mon attitude... Je n'ai plus jamais aimé dépuis et encore moins espérer fonder une famille. Je me suis tué au travail, mon frère a pris son indépendance. En deux ans je suis devenu une figure, le petit agent prodige. A l'extérieur tout semblait me sourire, mais dès que je passait la porte de chez moi tout s'effondrait, j'ai beaucoup bu et pris plein de saloperies. Et puis à 23 ans j'ai eu l'impression que la vie ne valait plus la peine d'être vécue, j'ai voulu me jeter du London Bridge et je l'ai croisé. Ca va faire cliché mais elle m'a ébloui et mon ambition a pris le dessus sur mon mal-être. J'ai rencontré Marylin et j'ai tout de suite vu qu'elle avait le mannequinat dans le sang, j'allais en faire une star. En deux ans je l'ai propulsé parmis les plus grandes de sorte à ce qu'il n'y ait pas un jour sans qu'elle soit demandée pour tel ou tel défilé ou tel ou tel shooting...Elle n'est pas au courant, je ne lui ai jamais dit que si je ne l'avais pas vu ce jour là, j'aurais sûrement fini en croquette pour poissons...Le reste de l'histoire vous la connaissez..."
- "Et bien... je euh, je ne me doutais pas que..." - "Que quoi, vous pensiez que j'étais né dans un chou avec une cuillère en argent dans la bouche, désolé de vous décevoir... Bien, nous en avons fini, puis je voir votre bloc note?" - "Oui, bien sur..."
Cassian parcourut les notes de la journaliste durant quelques minutes avant de mettre le bloc note à la poubelle.
- "Mais que faites vous? Mon article, votre histoire..." - "J'ai dit que je voulais bien vous raconter mon histoire, pas que vous pourriez la publier... Vous pouvez vous vanter d'être une des seules à la connaitre, alors ça doit rester entre nous..." - "Mais pourquoi me l'avoir raconter, à moi...?" - "Vous ma l'avez demandé et puis je ne sais pas, peut être en avais je besoin..."
Il y eu un long silence durant lequel la journaliste scruta le visage vide de son interlocuteur...
- "Je vois... Je vais vous laisser alors... Merci de m'avoir raconté votre histoire même si elle ne sortira jamais de cette pièce se fut très... instructif..." - "Hum, tenez, dix livres pour vous acheter un nouveau bloc..." - "Merci, au revoir..." - "Au revoir..."
* Description Morale;
Peut on se connaître soi-même ? Pour la majorité des gens cette question est absurde. Bien sur que l’on se connaît soi-même… Qui serait mieux placé que moi pour savoir ce à quoi je pense, ce que je désire, ce que je suis au fond de moi-même ? Personne, n’est ce pas ? Or, certains penseurs nous ont longtemps affirmé que l’individu n’existerait que dans les yeux de l’autre, que tout ne serait qu’un rapport aux autres et que pour se connaître soi-même nul besoin de se regarder dans un miroir ou d’entrer en introspection, il suffirait simplement de regarder dans les yeux de son prochain comme on regarderait dans les siens et que ce serait par ce rapport, peu importe sa nature, que l’on apprendrait à savoir qui l’on est réellement… Après tout, tout n’est il pas une question d’apparence ? S’il suffisait de se connaître pour soi se serait bien plus facile vous ne pensez pas ? Mais en l’occurrence c’est bel et bien pour les autres, voir à cause des autres que les caractères se forgent et que les personnalités se construisent…
CLAC « Tu n’est qu’un salaud. Vraiment je me demande ce que j’ai bien pu te trouver… tu…tu n’es qu’un sale égoïste, macho, prétentieux, arrogant, hautain, hypocrite, menteur, pervers. Tu es horriblement blessant, et contrairement à cette impression de popularité que tu sembles dégager tu es seul et tu finiras seul parce que c’est ce que tu auras mérité. Je te dirais bien que tu me fais de la peine si tu ne m’avais pas autant humilié. Dire que j’ai cru à tes sourires charmeurs et à tes paroles doucereuses, tu t’es servis de moi pour arriver à tes fins, tu es… Tu es… Sans aucun scrupule, je te hais Cassian Smith, et je crache sur toi et ta belle gueule parce qu’en fait t’es qu’un taré. »
Hum c’est pas vraiment ce que tu disais hier soir quand t’es venue m’aborder au bar, vêtue d’une jupe qui aurait pu appartenir à une gamine de primaire et qui devait cacher 2 centimètres de peau tout au plus. Nan mais faut savoir ce qu’on veut, quand on ressemble à une pute faut pas s’étonner quand on te traite comme telle… Bon je dois avouer que tous les qualificatifs dont elle m’a affublé sont totalement appropriés, d’ailleurs la plupart des filles qui quittent l’appart au petit matin me remercient par ce genre de jérémiades. Faut croire que ça les déçoit que je les renvoie sans un regard, sans un remerciement, sans même prendre la peine de prendre leur numéro de téléphone ou leur proposé un dollar pour leurs services nocturnes. M’enfin, c’est pas comme si ça me touchait d’une quelconque manière… Quoique là, elle n’y est pas allée de main morte. Généralement elles frappent moins fort, sûrement parce qu’elle ont peur d’abîmer ce visage divin qui les a fait fantasmer tellement longtemps… Hum… Elle a oublié de dire à quel point j’étais modeste… Euh… Ah merde je ne me souviens plus de son nom. Bof ce n’est pas comme si c’était grave mais bon, c’est tout de même assez irrespectueux, j’aime bien savoir avec qui je couche tout de même… Quoique à la limite, l’anonymat donne un petit côté ultra excitant, faudra que je lui sorte ça à la prochaine, que je ne veux pas savoir comment elle s’appelle. J’espère qu’elle ne se vexera pas, de toutes façons elles peuvent bien s’appeler Juliette, Martine, Françoise ou Bernadette, je m’en contre fou du moment qu’elles sont assez attirantes pour me donner envie de leur demander leur petit nom, même si au final je l’aurai oublié le lendemain matin.
Je tiens tout de même à préciser que cette liste censée me définir est assez peu étoffée, je suis tellement d’autres choses que c’est presque vexant qu’à chaque fois elles ne voient que la couche superficielle. C’est vrai, c’est facile de balancer les défauts que tout le monde porte en lui. Soit je les assume plus que d’autres et alors ? Au moins je suis franc et honnête avec moi-même, soit ce n’est pas le cas avec les femmes, mais bon personne n’est parfait, surtout pas moi. Moi, je suis le connard de service, celui qu’elles veulent toutes, celui qu’ils jalousent tous mais qu’au fond personne n’envie vraiment et que tous et toutes détestent. Soit j’ai une pléiade de défauts que j’affiche sans honte, et alors ? Est-ce un crime d’être un séducteur invétéré ? D’aimer les relations d’une nuit ? On me dit souvent que je suis quelqu’un de facile à cerner. D’après l’opinion publique je suis le petit manipulateur, beau parleur qui au final n’est qu’un profiteur. Mon intelligence sournoise fait peur tout autant qu’elle attire et c’est cette aura malsaine que je semble dégager qui les fait toutes (et tous d’ailleurs) venir vers moi, comme les insectes vont vers la lampe qui brûlera leurs ailes. Qu’y puis je si je suis aussi irrésistible que nocif ? Je ne vais tout de même pas devoir me coller une étiquette orange avec une tête de mort sur le front ? Je ne force personne, je convaincs, je séduis, je manipule pour qu’au final tous se rangent de mon côté. Et c’est là toute la différence. Je suis de ceux que le mystère entoure, qui ne parle jamais d’eux, dont les yeux semblent trop profonds, remplis de secrets inavouables, ce dont le regard vous met à nu parce qu’il semble en avoir trop vu. Oui je suis dangereux, je ne m’en suis jamais caché, je ne suis pas le loup qui fait patte blanche pour entrer dans la bergerie, non je suis le renard que les chèvres font entrer de leur plein gré, plus subtil, plus fin, plus vicieux. Je suis de ceux dont la parole est acerbe et dont le cynisme, la satire et l’ironie teintent chacun des mots sans se départir d’une pointe d’humour, ce qui rend difficile de savoir si les paroles sont vraies ou justes amusées. Je joue sur cette ambiguïté qui attire autant qu’elle dérange et je mets en avant mes pires défauts parce que c’est hors du commun, c’est une facette que peu de gens ont l’habitude de voir dans ce monde de faux semblants, de sourires mielleux et de paroles chantantes. Non, moi j’intrigue parce que je suis froid comme la glace et pour cause, personne n’a jamais vraiment pris la peine de gratter la couche de givre. Les gens sont tellement centrés sur leur petit nombril que personne n’est allé au-delà des sourires charmeurs, du regard explicite, des paroles blessantes et pourtant si vraies. Parce que oui, je suis très doué pour percer les gens en un regard, repérer leurs faiblesses d’un coup d’œil et après leur cracher la vérité à la figure, cette vérité déchirante qui les mets à genoux et dont je me délecte. Quoi de plus jouissif que de mettre à genoux le premier venu ?
Alors oui, je suis le pire enfoiré que la terre ait jamais porté. Oui, je suis sûrement l’être le plus exécrable que vous ne rencontrerez jamais. Oui je suis sans doute psychologiquement atteint. Oui, je suis un être croulant sous les défauts tel que la nymphomanie, l’égoïsme, l’arrogance, la prétention, la cupidité, la possessivité, la paresse, la gourmandise, l’orgueil, l’hypocrisie, la tendance à la manipulation et tellement d’autres encore qu’il serait impossible d’en faire une liste non exhaustive. Mais en deçà je suis aussi un être humain, qui cherche simplement quelqu’un qui saura aller au-delà des apparences, quelqu’un qui saura m’accepter même après avoir vu la pire de mes facettes. Quelqu’un qui grattera la couche de glace pour découvrir que oui, parfois, quand je m’attache à quelqu’un je peux être souriant, blagueur, protecteur, honnête, charmant, loyal, sociable… Que sous cette montagne de défauts se cachent quelques qualités, timides certes, mais belles et biens présentes, juste étouffées par le monceau de mes mauvais côtés…
Et puis il faut avouer que c’est dans les autres que se reflète son être, et qu’à force d’être traité comme un monstre on finit forcément par le devenir… un jour ou l’autre.
(J'ai repris la même description morale que l'ancienne j'espère que ça gène pas trop )
* Description Physique;
La jeune femme s'approcha anxieusement de la porte d'entrée du grand appartement, un petit bout de papier froissé dans les mains, elle vérifia une dernière fois que l'adresse qui y était inscrite correspondait bien au lieu dit. Après s'être assurée pour la énième fois qu'elle était bien au bon endroit elle inspira à fond et posant son doigt gracile sur la sonette appuya fébrilement dessus. Une banale mélodie retentit et la rouquine retint son souffle priant finalement pour qu'il ne soit pas là. Malheureusement, ou heureusement tout est relatif, une voix rauque lui parvint : "Entrez c'est ouvert." D'une main tremblante, elle agrippa la poignée et ouvrit la porte de bois massif pour pénétrer dans un grand appartement lumineux et chaleureux. La porte se referma doucement, mais la demoiselle était omnubilée par la pièce qui se découvrait à elle et ne le remarqua donc pas. Tout était simple mais beau et elle était grandement impressionnée, mais outre le bon goût de la décoration se fut le piano qui trônait dans le salon qui attira son attention, une pièce magnifique qu'elle s'autorisa à caresser du bout des doigts lorsqu'une voix lointaine la fit sursauter. "J'arrive dans une minute mettez vous à votre aise". L'appréhension qui l'avait étreinte quelques minutes auparavant s'empara à nouveau de la demoiselle qui décida d'explorer la pièce, histoire d'éviter de se tordre les mains nerveusement plus longtemps. Observant distraitement tableaux, vases et plantes vertes elle finit par s'arrêter devant une bibliothèque immense remplie d'ouvrages innombrables. Parcourant les reliures de ses orbes vertes son regard s'arrêta sur un cadre apparement renversé volontairement. Curieuse elle s'en saisi et le prit de telle sorte qu'elle put admirer la photo qui l'ornait.
Sur la photo il y avait deux hommes, l'un devait avoir moins de 20 ans et l'autre un peu plus. Ce fut ce dernier qui attira l'attention de la jeune femme. Il se tenait là, le bras passé tendrement sur l'épaule du plus jeune. On remarquait tout de suite la beauté de cet homme, bien que paraissant frêle et pas très grand, il dégageait quelque chose d'irresistiblement attirant. Tout son corps, sa posture nonchalente était un plaisir pour le regard, une sorte de beauté naturelle qui retient votre attention au détour d'une rue et dont vous ne pouvez détournez vos yeux. Sa taille était fine et soulignée par le jean délavé qu'il portait et qui accentuait le galbe de ses jambes. Son torse était plat, recouvert d'une fine chemise blanche qui moulait à certains endroit le détour d'une hanche ou la pointe d'une épaule. Les premiers boutons de la dite chemise était défaits et laissait entrapercevoir des clavicules saillantes et une peau de porcelaine, nul doute que le tissu dissimulait un torse d'éphèbe digne des anciens grecs de l'antiquité. Le délice se prolongeait plus avant lorsqu'on observait le coup gracile et sculptural qui soutenait un visage fin et anguleux à la peau diaphane. Son menton était petit et légèrement pointu, ses joues comme creusées par l'expérience d'une faim trop longtemps insatisfaite, d'ailleurs on remarquait sur la joue droite une légère cicatrice, dissimulée dans le creux de sa fossette. Ses pommettes saillantes venait soulignées la ligne droite de son nez aquilin qui surplombait quant à lui une bouche aux lèvres charnues et vermeilles qui s'étiraient en un sourire taquin et captivant. Mais le plus captivant, pour rester dans la même terminologie, étaient ses yeux, deux grandes perles bleutées semblables à un océan sécoué par la tempête, ses opales azures semblaient si profondes qu'on aurait pu s'y noyer et pourtant, malgré la petite étincelle qu'on pouvait y déceler elle étaient froides, comme la pluie d'automne. Des yeux tristes cachés derrière un sourire, un regard sombre et dérangeant qui semble voir même au delà de la chair et des os. Ce tableau était parfait par une touffe de cheveux d'un brun foncé qui venait accentuée la pâleur de sa peau. Cette chevelure brune décoiffée, comme si le jeune homme venait juste de se réveiller après une folle nuit d'amour lui donnait un air taquin et sacrément sensuel... Alors qu'elle pensait avoir fini son examen visuel le regard émeraude de la jeune femme s'arrêta sur les mains de l'homme: fines, fragiles, elle les devinait douces et délicieusement efficaces pour les caresses que peut offrir une nuit sombre.
La demoiselle sursauta d'autant plus lorsque la main qui remplissait son esprit de fantasmes se posa sur la sienne pour y prendre le cadre. La rouquine se retourna vivement sentant le rouge lui monter aux joues, gênée de s'être ainsi faite prendre en flagrant délit de fouinage. L'homme qu'elle avait si longuement observer sur la photo se tenait devant elle, la jaugeant d'un air légèrement sévère, arborant une moue sexy. Il leva finalement les yeux vers elle et lâche d'une voix rauque : "La curiosité est un vilain défaut, on ne vous l'a pas appris?". Déjà pivoine, la fouineuse sentit ses joues s'enflammer d'autant plus et tenta de balbutier des explication mélangées à des excuses sans grand succès. Se fut un doigt posé sur sa bouche qui la stoppa net, une frisson douloureusement plaisant lui parcourant la colonne vertébrale elle leva ses yeux vers le visage de l'appolon qui lui faisait face. "Je sais pourquoi vous êtes là, malheureusement je ne prend plus de poulains, j'ai déjà une mannequin à coacher et elle me prend tout mon temps." La jeune femme n'eut pas le temps de laisser la déception s'inscrire sur son visage que celui de son interlocuteur s'approcha près, tout près. Elle put sentir le parfum boisé du jeune homme, sentir son souffle chaud sur sa joue, apprécier la caresse de ses doigts sur sa joue et surtout profiter de sa voix suave glissée dans le creux de son oreille : "Mais rien ne nous empêche de nous revoir pour de raisons, disons, non professionnielles." Il se recula et la jeune femme crut qu'elle allait manqué d'air un instant. C'était fou comme ces quelques secondes d'intimité avait été à la fois longues et rapides. Répondant au sourire du brun par un autre plus timide elle acquiesca. "Bien laisses ton numéro sur la table d'entrée en partant je te contacterai bientôt, là je suis un peu occupé." Aussitôt arrivée, aussitôt congédiée, la demoiselle s'en allat, sans un mot laissant son numéro à l'entrée, elle passa la porte et ne put voir le regard douloureux que le brun posa sur le cadre photo avant de le ranger distraitement dans un tiroir et de s'enfoncer dans son appartement...
« YOUR TASTES »
* Plat préféré; Rien n'est meilleur pour l'aîné des Smith que les lasagnes surtout lorsqu'elles sont faites maison. * Boisson préférée; En société le jeune homme dirait champagne mais chez lui bien calé dans son canapé il préfère de loin la desperado ou alors la tequila pure lorsqu'il a vraiment envie de se prendre une cuite sévère. * Livre préférée; Huit clos de Sartre est son livre de chevet. * Musique préférée; Le jeune homme est plutôt ouvert à tout même s'il a une petite préfèrence pour le rock des années 90. * Couleur préférée; Cassian aime porter du gris ou du bleu pâle, il trouve que ça lui correspond bien. * Parfum de Glace préféré; Hagen Däas vanille et noix de macadamia sans aucune hésitation. * Odeur préférée; L'odeur du linge fraîchement lavé le détend et l'apaise, sinon il aime l'odeur de l'herbe fraichement coupée ou l'air marin. * Endroit préféré; Son lit, et bizarrement seul de préférence. * Saison préférée; L'hiver, quand tout est recouvert de blanc et que rien n'est plus agréable que de rentrer frigorifié et de prendre un bon bain chaud. * Lieu de vacances préféré; Cassian affectionne les endroits calmes. Les lieux pleins de touristes, très peu pour lui. Mais c'est à Dublin que va sa préférence même s'il n'y reste jamais longtemps. * Pays préféré; La France, parce qu'on y trouve les plus jolies filles et les meilleurs cuisiniers, tout pour rendre un homme heureux quoi.
« « ANSWERS SOME QUESTiONS » »
* Si vous pouviez changer une chose; "Ce jour là j'aurais mis ma fierté de côté." * Votre plus grand rêve; "Un femme, des enfants, un chien et une maison avec une clôture blanche? Vous non plus vous n'y croyez pas hein... Je ne vous le dirai pas. Le propre d'un rêve et du mien plus particulièrement c'est qu'il n'appartient qu'à moi. Alors pour le savoir à part venir directement dans ma tête vous pouvez vous gratter." * L'instant parfait; "Lorsque je me réveille le matin et que je me sens reposé et bienheureux tout simplement." * Le plus beau jour de votre vie; "N'est pas encore arrivé sinon je suis dans la merde..."
« JUST TALK »
* Où avez-vous trouvez le forum ?; Je fais parti des vieux de la vieille * Double compte ?; Non * Exemple de poste;
Spoiler:
Ting, ting, le bruit des talons se faisait de plus en plus proche et de plus en plus pressant aux oreilles du brun. Etait ce une jolie policière en uniforme ? Si c’était le cas, voudrait elle prendre un café en sa compagnie et pourquoi pas plus si affinité ? Wade était un charmeur et il ne s’en cachait pas, sa carrure, son visage, son allure, son style de mauvais garçon lui avait toujours valut une popularité appréciable auprès de la gente féminine et ce d’aussi loin qu’il s’en souvienne, et aujourd’hui plus que jamais. D’autant plus que les filles en uniformes ça a toujours eu un petit goût de fantasme inavoué et d’originalité vous ne trouvez pas ? Ting ting, non, le martèlement était trop nerveux, le claquement trop sec. Une prostituée qui sortait de sa cellule de nuit, encore maquillée à outrance, respirant l’alcool la drogue et le sexe sauvage ? Il l’imaginait déjà, déambulant dans les rues sombres de Baltimore city, ses vêtements ne cachant pratiquement rien de sa peau satinée caressée bien trop de fois par beaucoup trop d’homme différents. Elle aguiche fait aux noctambules des propositions d’une délicieuse indécence. Comment refuser ? La soirée tourne mal, les lumières bleues emplissent la rue et la course se finit en cellule. Ting ting, décidément non, il y avait quelque chose de plus souple, de plus noble dans ces bruits de pas, un peu comme une chorégraphie savamment orchestrée. C’était presque comme si la marche était calculée exactement pour produire une certaine musique. A n’en plus douter il s’agissait là d’une bourgeoise, chaussures Prada, Jimmy Choo ou que sais je encore, affublées de talons immenses dont la pointe ferait pâlir n’importe quel agresseur potentiel. Le brun ne prit même pas la peine de poser ses opales noires sur la nouvelle arrivante, sans doute encore une qui venait ajouter aux faux témoignages contre son ami, ou bien l’une de celle qui venait pleurer un délit mineur, comme la disparition de Kiki le chihuahua après sa cri-crise de la veille. Pathétique.
Et pourtant, là ou le son des talons aurait du le dépasser puis s’éloigner il s’arrêta, à peine quelques centimètres derrière lui le bruit disparut laissant place à une voix, des plus… familière au jeune Matthews. Diantre voilà que maintenant le simple fait de penser à elle la faisait apparaître près de lui. Le jeune homme ne savait pas s’il devait prendre ça comme un bon ou un mauvais signe, quoique si elle pouvait débarquer ainsi quand il pensait à elle pendant ses nuits solitaires il ne dirait pas non pour sur. M’enfin, évitons d’aborder ce sujet à haute voix. Penchant sa tête en arrière de sorte à pouvoir admirer à loisir son interlocutrice, l’ouvrier, malgré sa position d’infériorité notoire, soutint le regard de la dernière héritière Wellinghton tandis qu’elle s’adressait à lui, mettant en avant toutes les contradictions qui constituaient leur relation ambiguë. Il ne faisait aucun doute qu’entre eux se jouait un jeu. Un jeu de provocations principalement, mais aussi un jeu d’indifférence parfois. Comme le chat et la souris, sauf que parfois il était difficile de discerner qui était la proie de qui était le chasseur. Deux caractères forts et pourtant deux milieux et modes de vies différents. Mais comme on dit les opposés s’attirent, comme deux aimants qui se cherchent pour mieux se repousser il s’agissait ici de jouer avec le feu et surtout de voir combien de temps ils tiendraient sans se brûler. Et ça, sincèrement le jeune homme ne savait plus. Le problème étant qu’il était conscient que s’il se laissait aller a embrassé cette flamme, ce désir qu’il éprouvait pour elle, elle le consumerait, comme le feu brûle la cigarette. Et pourtant, pourtant c’était si tentant, de se relever d’un geste brusque et de plaquer ses lèvres contre les siennes dont il n’avait de cesse d’imaginer la douceur et le goût. Il l’aurait faite sienne l’espace d’une seconde par ce baiser violent, et ce simple contact lui aurait transmis avec plus de force que tous les mots de la terre la passion qu’elle lui inspirait. D’une main il aurait parcourut sa chevelure de satin tandis que l’autre aurait maintenu avec force sa taille fine contre son propre bassin. Ce moment il en rêvait, depuis le jour ou elle avait jeté son dévolu sur lui.
N’allez pas penser que le jeune homme ne savait pas parfaitement pourquoi la miss s’intéressait à lui. Avoir avorté ses études ne signifiait pas forcément être stupide et Wade était assez intelligent pour percevoir qu’il n’était qu’un exutoire, un intermédiaire par lequel la brunette voulait assouvir sa vengeance. Cette constatation et l’amitié fraternelle qu’il éprouvait pour Nathan étaient les dernières barrières à l’empêcher d’agir comme il en rêvait. Mais pour l’instant il résistait et s’entêtait à jouer, allant toujours un peu plus loin dans la provocation, sachant pertinemment qu’un jour à force de côtoyer la brèche on finit par sombrer dans l’abîme.
Mais le seul abîme présent à ce moment là, c’était l’abîme de ses opales sombres, ancrées dans les prunelles de la demoiselle. Laissant glisser ses paroles sur lui comme des fines gouttelettes de pluie. D’ailleurs les mots de la jeune femme firent naître un rictus taquin au coin des lèvres du prolétaire qui sentait, tout comme elle le devait aussi, la tension mêlée d’attirance physique qui les unissait et était presque palpable tout autour d’eux, comme une sorte de courant électrique. Mais le jeu se cristallisa presque aussitôt. Il faut dire que ni le lieu ni les circonstances ne s’y prêtaient et d’une façon que l’on aurait pu croire subtile elle finit par lui demander la raison de sa présence ici. Le sourire de ses lèvres se flétrit et il se leva souplement pour pouvoir toiser avec aise celle qui lui faisait face. Le silence répondit au silence pendant de longues secondes, tandis que leurs regards ne se quittaient plus. Et puis avec un plaisir clairement visible dans ses yeux le jeune homme tira une longue taffe de sa cigarette avant de souffler une volute de fumée dense en direction de Kate. Provocation ? Sans aucun doute. Tout était bon à prendre pour garder un minimum le contrôle du jeu. Et puis elle était si désirable lorsque cette petite lueur d’irritation venait briller dans ses prunelles noisettes. Elle la fille de bonne famille à qui tout le monde disait toujours oui, que personne n’osait contredire. Il aimait voir apparaître sur son front ces quelques petites lignes, signe de son énervement, il aimait la voir plisser le nez face à l’odeur qu’elle jugeait désobligeante de la cigarette, et plus que tout il aimait cette petite moue qu’elle arborait, ces lèvres pincées tentant vainement de retenir sa colère et ses mots enfermés dans sa bouche, scellée parce qu’elle se devait de garder le contrôle.
Et puis, il l’effleura, à peine. Ses doigts frôlèrent la courbe rêche de son visage pour venir se perdre dans son cou diaphane, aussi légèrement que la caresse du vent, parce que le brun s’interdisait tout contact trop prononcé, par peur de perdre le contrôle. Ce simple geste lui donna néanmoins la satisfaction de la sentir frissonner. Preuve qu’il n’était pas le seul qu’une rencontre rigide comme cella là tendait. Ses yeux s’adoucirent considérablement et s’il avait pu il aurait posé, simplement, son front contre le sien. Au lieu de ça il s’éloigna, pas de façon significative, mais d’un petit millimètre qui signifiait tout. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire son visage avait de nouveau recouvert cette apparente désinvolture qu’il portait toujours, comme s’il était au dessus de tout, que rien ne pouvait l’atteindre.
« Je me baladais, de si bon matin rien de mieux que de venir au commissariat. J’ai tellement d’amis qui travaillent ici tu dois le savoir. Comme ça s’ils veulent me voir je suis à la portée de leur main. Je m’en voudrais de les faire se déplacer par brigades entières jusque dans notre appartement pour rien. » Etait ici sous entendue l’innocence de Nathan, mais il savait que Kate le croyait coupable plus que quiconque. Moyen détourné de déverser toute la rancœur que leur relation avait laissée en elle, sans aucun doute. Mais de là à le croire coupable de meurtre, c’était bien mal connaître le jeune Stevens. Tout aurait il été plus simple sans la mort d’Elizabeth, drôle de question à laquelle personne ne pourrait jamais répondre. Portant de nouveau sa cigarette à ses lèvres il continua, et de loin on aurait presque pu croire que deux connaissances bavassaient simplement.
« Et toi, venue vérifier que l’enquête se déroule selon tes désirs ? Ou alors tu es venue passer un petit coucou à ce cher chef de brigade. Une très bonne relation à toi si je ne m’abuse. » Serait ce une pointe de jalousie qui avait rendue une seconde durant la voix de Wade un peu plus grave. Sûrement, mais il n’avait aucun droit de lui reprocher quoique se soit, en fait il était le plus horrible dans tout ça. Déchiré entre son attirance pour son ennemie et l’amour pour celui qu’il considérait comme son frère. Pourquoi, chaque jour qui s’écoulait le poussait un peu plus vers elle ?
* Autres; Je suis vraiment content que WL ait réouvert! ^^
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"Comment tu t'appelles? A440." Est ce que tu me trouves belle? Ah vraiment charmante... *SBAAAAAAAF* (on sent la fan d'Emilie Jolie xD)
Dernière édition par Cassian Smith le Mar 15 Déc - 14:56, édité 11 fois
Marilyn J. Stills
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Ah bon? xD Mouarf je suis heureux d'être de retour aussi
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C'est très loin d'ici? Non ma galaxie n'est pas loin d'ici, à un million d'années lumière de ta petiteuh terreeeeeeeeeeeeeeuh. *SBAAAAAF* J'ai encore le CD chez moi
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Sujet: Re: Cassian Smith - OMFG! Mar 15 Déc - 21:35
Magnifique présentation J'ai remarqué qu'au tout début de ton histoire, la boisson que demande Cassian et de l'eau et tout d'un coup, il passe à la téquila xD
Je te dis pas validé hein, tu l'es déjà (:
Cassian Smith
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Sujet: Re: Cassian Smith - OMFG! Mar 15 Déc - 21:37
Mdr c'est pas lui qui demande de l'eau c'est la journaliste MDRRRRRRRRRRR
Merci du compliement Joshou (faut qu'on se fasse notre lien )
Merci quand même pour la validation... WL i'm baaaaaaaaaaaaaaaack