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◊ Mon avatar : Francisco Lachowski ◊ Mes messages : 111 ◊ Date de naissance : 34 ◊ Localisation : Londres; Mayfair ◊ Mon âge : 2o ans ◊ Etude & Année d'étude : // ◊ Emploi(s) : Dj dans une discothèque Londonienne ◊ Date d'inscription : 12/12/2009
Sujet: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 0:26
Fin ; i'm only human
Vide Je me sens vide de tout. Et je me sens aussi pleine de rien. Ce n'est rien M'a dit Marie C'est seulement la vie qui va qui vient Comme une plage abandonnée Comme une vie vidée Comme une fille qui appelle au secours Avec un téléphone factice Hier j'étais libre et j'attendais le lendemain Aujourd'hui je suis là et c'est certain Je n'attend rien Je suis en prison C'est tout.
« OF YOU CHARACTER WE KNOW »
* Nom & Prénom; Dwaynes, Liam Gabriel. Ma mère a très bien choisie mon prénom. Elle était quelqu'un de bien, de forte. Encore aujourd'hui je l'admire et mon prénom est bien une des seules choses dont je suis le plus fier. Elle m'a donné le prénom de mon grand-père en tant que deuxième prénom. Je n'ai rien de l'ange Gabriel, soyons en sûr. * Âge & Date de Naissance; 23 years; 31th july 1985. Né en plein milieux de l'été 1985, j'ai rendu heureuse ma très chère mère. Mon père, lui, n'est pas venu à l'hospital le jour de ma naissance. Tant mieux, peut-être que j'aurais pleuré en le voyant? Quelle enflure. * Lieu de Naissance; Miami, Floride. A mes premières années, ont a vécus dans une maison froide, dépourvu de signe de vie. Le reste de mon enfance, je l'ai passé dans une magnifique maison d'un quartier résidentiel de Miami. Le pied! Mon beau-père gagnait beaucoup d'argent dans sa carrière d'homme d'affaire. Il nous a payé une magnifique maison avec un beau et grand jardin avec une piscine. * Lieu d'habitation; Londres. Changement de lieu, de temps. Ici, à Londres, il pleut, beaucoup. Les nuages font toujours leur apparition. Il n'y a pas la mer à trente minutes de marche. Il n'y a plus les jolies filles en maillot de bain sur la plage. Mais ma foie, je m'y fais très bien à cette magnifique ville. * Profession / Job; DJ. J'espère peut-être un jour devenir l'un des plus grands dj reconnus dans le monde. Ceux que l'on s'arrache et que l'on paye une fortune pour une soirée. Je ne suis pas encore à ce stade là mais je ne me plains pas, j'arrive à vivre de ma passion, c'est le plus important. * Loisirs; Faire la fête - jouer de la guitare - lire - les femmes
« TOUCH MY BODY »
CHAPITRE PREMIER bad way
« Le présent est fait de lutte; l'avenir nous appartient. »
La pleine lune éclairait quelque peu la pièce sombre. On ne pouvait distinguer les objets, seulement en deviner les contours. Aucun bruit ne régnait dans le vaste espace, seulement le tic tac incessant de la grosse pendule de chêne. Les meubles étaient froids, glaciales. Seul le canapé de velours vert apportait une touche de chaleur dans ce vaste espace dépourvu de vie. La cheminée était vide, vide de sens et vide de vie. Elle devait ne pas avoir été allumée depuis quelques mois. Les branches des arbres tapent sur la vitre. Dehors, il pleut. Une jeune femme est assise sur un grand fauteuil de cuir marron dépassé. Elle regarde la pluie courir sur la vitre. Les gouttes glissent sur cette matière froide et translucide comme si elles faisaient une course. Certaines ne peuvent pas la gagner. Elles s’ajoutent à d’autres gouttes sur leur chemin pour pouvoir traverser la vitre et disparaître dans l’infini. Les nuages lâchent des trombes d’eau qui viennent s’écraser au sol. Eux aussi sont tristes, triste à en pleurer toutes les larmes de leur corps. Seulement, la brune n’y arrive pas. Elle n’a plus de larmes, plus aucune. Aucune goutte d’eau n’existe. Seulement les parcelles de son corps sèche, telle un désert. Elle est comme une machine dépourvue de sentiment, dépourvu d’une pensée. Elle pose sa main sur la vitre froide. La douce sensation de cette matière lui donne un léger sourire. Elle aussi aimerait pouvoir pleurer dans ce froid hivernal. Mais elle n’y arrive pas. Sa main glisse lentement le long de l’objet avant de terminer dans le vide comme sa pensée. Des pas se font entendre dans l’escalier. Des pas légers, comme un félin voulant attaquer une proie. Le bruit change pour ce faire de plus en plus sourd pour terminer par disparaître. La jeune brune ferme les yeux. Une main se pose sur sa tête et caresse ses doux cheveux couleur de jais. Le mouvement se termine dans le creux des reins de la jeune femme. Le souffle chaud de l’homme se fait sentir dans son coup pâle. Ses grands yeux bleus veulent pleurer, comme toujours, mais n’y arrivent pas. Elle se retourne et fait face à son mari. Il la tient par les hanches et exercent une pression sur ses dernières comme s’il voulait la casser en deux. Ses doigts s’entremêlent dans les fins de la jeune femme. Il la tire jusqu’à l’escalier, sourire aux lèvres. Il pleut toujours. Les gouttes d’eau s’amusent toujours à grossir et à disparaître sur-le-champs de course froid qui leur est offert. Les nuages pleurent toujours. Le tic tac incessant de la grosse pendule de chêne se fait toujours entendre. En cette nuit là, une jeune femme sans vie s’offre tout entière à un homme cruel. Elle n’éprouve plus aucun plaisir. Elle n’arrive toujours pas à pleurer.
La brune est Grace Gabriella Bowman. L'homme est son mari, Caleb Georges Dwaynes.
« Le baiser frappe comme la foudre, l’amour passe comme un orage, puis la vie, de nouveau, se calme comme le ciel, et recommence ainsi qu’avant. Se souvient-on d’un nuage ? »
La jeune brune est assise sur un lit. Nous sommes situés dans une belle maison d'un quartier résidentiel de Miami, en Floride. Un petit être y est allongé, les yeux grands ouverts. Il écoute attentivement sa mère lui racontant une histoire. Elle sourit tout en mettant de la vie dans ce simple livre. Les yeux verts du petit être sont toujours bien ouverts. Il a les yeux de son père, chose qu'il répugnera toute sa vie. Aucun signe de fatigue ne se décèle sur son doux visage. Il écoute sa mère, femme la plus importante à ses yeux. Grace sourit. Depuis qu'elle avait fuit les coups de son mari, elle souriait. La vie avait reprit possession de son corps frêle. Maintenant mariée à une riche homme d'affaire, elle était heureuse. Il l'avait sauvé de cet homme barbare sans coeur. Emmenant avec elle son fils résultat d'un inceste, seul être important à ses yeux, ils vivaient maintenant tous les deux sous la protection d'un homme les aimant. On pouvait alors voir le jeune brune sourire, rigoler, froncer les sourcils lors de sa lecture. Ses yeux riaient toujours devant les pitreries de l’amour de sa vie. Il aimait la faire rire. La jeune femme était emplie de vie dans ces moments-là. Elle referme le livre, fait un baiser sur le front de son petit. Son sourire se veut attendrissant, heureuse. Heureuse qu'elle est à ce moment-là. Elle se lève et sort de la pièce adressant un dernier baiser envolé à son fils.
Deux ans plus tard. Le 26 décembre. Miami, Floride. Une heureuse naissance comble encore plus la jeune brune. Grace est fière, fière de son travail. Eleanor Gabrielle Macowski est brune, comme sa mère. Elle possède de longues boucles ainsi que de grands yeux bleus très expressifs. Son frère en est fier, très fier. Fier de ce doux petit être parfait aux yeux de la famille.
Dernière édition par Liam G. Dwaynes le Dim 20 Déc - 22:41, édité 19 fois
Liam G. Dwaynes
Vieilles chaussettes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 0:26
CHAPITRE DEUXIEME same way
« Quand l'amour s'en va, il est impossible de le rattraper. »
Le jeune couple s'est offert un weekend amoureux. Les deux enfants sont gardés par une vieille voisine mais elle s'est endormie sur le canapé. Il fait chaud, très chaud. La période de canicule se fait bien ressentir. Eleanor est en short/débardeur et Liam porte un simple short. Ils sont allongés, vautrés face à la télé. Il n'est pas loin de minuit. Si leurs parents savaient qu'ils veillaient, ils ne laisseraient plus la vieille voisine venir.
Il y a de l'orage, beaucoup d'orage. Ca tonne tellement fort que les murs de la maison tremblent. La mer est déchainée, les arbres cognent contre les carreaux. Les enfants ne dorment pas. Ils ne peuvent s'empêcher de faire le hibou à chaque éclair baignant la pièce d'une vive lumière. La petite blonde, blottie sous sa couette, ne supporte plus le vide. Elle se lève, traverse le couloir et va se blottir dans le lit de son frère aîné. Un grognement, signe de dérangement. Son ours Pan sous le bras, la petite Macowski ferme les yeux et s'endort enfin.
Le téléphone sonne. Il s'arrête. Il sonne. Le brun soupire, grogne, pousse le bras de sa soeur, passe par-dessus le corps endormie de la petite et traverse la chambre, le couloir, descend les escaliers et arrive enfin dans la cuisine américaine. Il pleut dehors. Il pleut averse. L'orage tonne toujours. Les murs tremblent toujours. Le brun agé d'une dizaine d'année décroche le téléphone. Liam Gabriel Dwaynes? Oui.
Les enfants sortent de la voiture en courant, du plus vite qu'ils peuvent. Liam tient du plus fort qu'il peut la petite main frêle de sa soeur. Il pleut fort. Les gouttes font mal lorsqu'elles viennent s'abattre sur les corps transit des enfants. Ils sont légèrement vêtus. Leurs vêtements collent à leur peau pâle. Leurs cheveux dégoulinent de cette eau salée. Deux voitures de polices, une voiture noire, une camionnette d'ambulance et des personnes, beaucoup de personnes. Eleanor crie. Sa main broie la main de son frère qui, sous la douleur, lâche son emprise. La petite met ses mains devant sa bouche pour étouffer le cris. Elle crie, toujours. Ce cri si strident est horrible. Il regarde ce qu'elle regarde. Une voiture retournée. Maman et James dedans. Le petit court jusqu'à la voiture. Il se tapisse devant la voiture. Deux corps. Il y a du sang partout. Le brun touche le corps inerte. Le fer. Ses mains sentent le fer. Un corps le retire de la carcasse. Il crie, de douleur. Il pleure autant que les gouttes qui tombent en cette terrible nuit. Eleanor crie pendant que son jeune frère se débat de l'étreinte du policier. Il lui parle, le rassure mais l'enfant n'entend rien. Il ne veut rien entendre. La petite brune est elle aussi sous l'étreinte d'un homme mais elle le mord au poignet. Elle court et s'allonge prêt de sa mère. Du bruit, de l'agitation. L'homme mordu reprend avec une plus grande force la petite.
« Ne la touchez pas! Je vous démonte si vous lui faite du mal! Lachez-moi! »
Ils sortent les corps. L'enfant arrête de se débattre. Il ferme les yeux ainsi que ses oreilles. Il ne veut pas entendre les paroles rassurantes du policier. Les larmes chaudes coulent en boucles sur leurs petites joues. Les portes de l'ambulance se referment. L'emprise de l'homme se relache. L'ambulance part. Liam court sur l'asphalte mouillé, pieds nus. Il vole, il ne veut pas les lâcher. Il termine par s'écraser au sol en glissant. Il est à genoux. Un cri, celui qui sort des entrailles. Un cri de tristesse, de peur. Peur d'un enfant. Peur de la solitude. Eleanor court toujours derrière l'ambulance avant qu'elle aussi s'écrase au sol. Elle fixe les lumières rouges qui disparaissent à l'horizon. Puisse que la pluie essuient ces larmes et cette affreuse nuit.
Les deux enfants furent séparés. Aucune loi ne leur permettait de rester ensemble. C'est à ce moment-là, malgré les colères des enfants et les quelques fugues de l'orphelinat, ils furent séparés. Eleanor fut très vite adoptée. Son visage d'ange ne laisse pas indifférent. Liam a, quant à lui, passer sa vie entre famille d'accueil habitant la Floride. Il ne restait pas plus de deux ans dans la même famille. Enfant turbulent, mauvais à l'école, il ne fit pas le plaisir de ses tuteurs. Il avait et a toujours du mal à accorder sa confiance. Mais une fois qu'on le connait, son masque tombe; spontané, joyeux, chaleureux et fou. On découvre une personne chaude remplie de vie. Il faut apprendre à le connaitre et lui donner du temps. La solitude qu'a causé la mort de ses parents lui fit tomber amoureux de la musique. Il aime la musique. Il joue divinement bien de la guitare et il aime ça. La mort d'êtres proches nous fait souvent nous renfermer sur nous-même. La musique et la guitare l'a aidé à aller mieux.
Dernière édition par Liam G. Dwaynes le Dim 20 Déc - 22:26, édité 10 fois
Liam G. Dwaynes
Vieilles chaussettes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 0:26
CHAPITRE DERNIER moody person, bad person
« L'inconscient s'exprime à l'infinitif. »
On est obligé de repenser le passé, de le regretter, de se demander pourquoi la machine à remonter le temps n'existe toujours pas. On est obligé de prévoir son avenir, de planifier ses jours. On est tous dans une simple banalité sans aucune originalité. On se lève pour se recoucher. La simple vie d'un simple mortel en ce bas monde recouvert de pourriture. Bien sûr on peut toujours essayer d'éviter la monotonie en faisant une nouvelle chose par jour, mais cela reviendra toujours au même. A force d'éviter le quotidien on se retrouve souvent en plein dedans. Liam le sait bien mais malgré tout, il fait partit de ces personnes qui courent sans se retourner sur le passé, essayant d'oublier les jours passés et de se concentrer sur son présent et son futur. Comme ces personnes, il essaye d'éviter la monotonie. Il tombe dans la plus grande décadance tel que le cercle vicieux, le sexe, l'alcool et la drogue. Un moyen comme un autre d'oublier le passé et la monotonie. Bien entendu, ces excès sont devenus rare. Il essaye de se contrôler mais quelquefois c'est plus dure que ce qu'il pense, il retombe alors. Cela l'y nuit beaucoup et aussi à son rare entourage. Rare sont les personnes qui ont réussie à le cerner et à l'apprécier. Mais une fois qu'on le connait, on sait l'apprécier pour ses juste valeurs. Lorsque son masque froid tombe, on découvre une personne rieuse, déjantée qui n'a jamais peur du ridicule. Il se protège des agressions extérieurs, c'est tout. Il répond souvent aux gens, ils n'ont pas qu'à le chercher dit il souvent pour se défendre sur son agressivité. D'après certaines personnes, il est quelqu'un de détestable mais d'après ses amis, il est seulement désagréable. Il y a une grande différence. C'est vrai, au fond, si on le connait bien, il n'est pas si désagréable que ça. Par contre, pour le faire devenir, ça n'est pas très difficile. Il suffit juste de lui envoyer quelques pics et à ce moment-là, vous allez surement regretter de l'avoir fait. A ce jeu-là, le jeune homme est très fort et peut devenir très méchant. Il blesse souvent les gens et il s'en rend compte. Tant que ça n'est pas ses amis, il s'en contre fiche pour dire. Par de simples mots il peut blesser. Il en vient aussi quelques fois aux mains, lorsque l'occasion est bonne bien entendu. Jamais avec une femme, toujours avec un homme bien musclé. Il s'attaque à gros et se retrouve des fois à terre, soumit à son adversaire. Mais vous pouvez vous dire que si vous êtes avec Liam Gabriel Dwaynes, vous êtes en sécurité. Grand, musclé par le basket, Liam aime le sport. Il aime se lever tôt quelques matins pour pouvoir courir dans les rues de la ville, endroit calme où personne ne s'y trouve tôt le matin. Il aime mettre son gros pull gris, mettre la capuche, les écouteurs de son mp3 et partir en courant, ballon de basket sous le bras, de partir jusqu'au terrain de basket et de s'entraîner à faire des paniers jusque tard dans la nuit. Donc si une jeune femme passe la main sur son ventre elle pourra sentir de belles et jolies tablettes de chocolat bien entretenues. Il a de longs cheveux brun (longs pour un homme umh) et des yeux bleus très mystérieux. Si l'on regarde dans ses yeux, on ne saura jamais ce qu'il pense. Il déteste ça, que les gens sachent ce qu'il ressent.. non non. Jamais personne ne saura ce qu'il pense et ce qu'il ressent, surtout pas en lisant dans ses yeux. On pourra souvent lire un certain mystère qui il est à vous d'éclaicir si vous le souhaitez. Il faudra par contre s'armer de beaucoup, beaucoup de patience. Son amitié ne se gagne pas si facilement. Il n'a pas vraiment de style vestimentaire, il préfère les vêtements larges dans lesquels il se sent à l'aise. Il aime aussi sa veste en cuir qu'il met souvent accompagné d'un bonnet lorsqu'il fait froid, en hiver par exemple. Les filles sont souvent à ses pieds, en même temps, qui peut résister à un pareil physique? Personne. Liam le sait bien et il en profite. Le nombre de jeunes femmes qui passent dans son lit est innombrable! Il se souvient rarement du prénom des demoiselles bien entendu. Goujat, salaud? Oui peut-être, et il en est fière. Etre détester des gens pour ses actes et être jalousé par d'autres gars qui aimeraient être comme lui.. le pied! Il a beaucoup; beaucoup de relations d'un soir, mais comme le dit si bien la relation, c'est un soir, pas plus. Il ne veut pas être 'emmerdé' par les filles avec qui il couche. Une fois leur travail fait, il ne leur donne souvent aucune nouvelle. Bien sûr, c'est un commun accord, elles le savent très bien, elles savent dans quoi elles se lancent. Mais il y a bien sûr des exceptions, des exceptions qui l'attendent à la sortie de la discothèque où il bosse pour lui faire la morale. 'T'as aucune pitié? T'as pas de pitié de faire croire aux filles avec qui tu couches que t'es le bon, que t'es celui qu'il leur faut?' Nan, il n'en avait aucune, aucune pitié; ne rien regretter, c'était justement sa devise. 'Mais pour qui tu te prends bon dieu?'; elles s'énervaient souvent. 'Pour l'étalon auquel tu t'es épris, il faut l'avouer ma belle' Et oui, con. On le qualifie aussi comme ça. Grand, beau, musclé, il le sait, il en profite, c'est simple comme bonjour.
Sorry, i'm just who am i.
Il écarte les bras et tourne sur lui-même le sourire aux lèvres tant dis que son amie s'allonge sur la piste d'attérissage des hélicoptères. Autour d'eux, de l'herbe. Il devait être deux heures du matin, pas plus. Ils avaient bu avant de décider de sortir fumer et de faire une balade. Aucuns des deux ne marchait droit, ils se tenaient la main mais on pouvait voir qu'ils n'étaient pas très parallèles dans leur petite ballade. Liam tournait toujours sur lui-même pendant que son amie passait ses mains dans ses longs cheveux brun. L'espace d'un instant, il cru que tout allait ressortir mais non. Il sourit avant de s'allonger aux cotés de son amie et de prendre sa clope. Il tire dessus et se concentre sur une tour qui lancait une sorte de flash à temps régulier. Il tire encore sur la clope, crache une bouffée de fumer avant d'entendre son amie lui demander une souflette. Dit, fait. Liam tire encore avant de se mettre sur elle, bouche contre bouche, et de souffler. Il se retire en rigolant tout comme son amie. Ils étaient bien. Son amie posa sa tête sur son torse pendant qu'il était en train de terminer la cigarette. Il commencait à pleuvoir quelques gouttes. Les jeunes restent allongés, sur le sol. Les gouttes leur mouillaient le visage et les cheveux. Liam ferma les yeux. Il aime la pluie, plus que tout. Ils avancaient dans le parc, marchant toujours pas droit mais se raccrochant cette fois-ci l'un à l'autre. La tête du jeune homme lui disait 'rigole' alors il rigolait sans même savoir pourquoi, il le faisait. Débile umh? Ils fumèrent un 10e avant de terminer le join sur le chemin du retour. Sans parents, sans model, on fume, on boit. Quelle est belle la jeunesse dépravée.
Leurs regards étaient plantés l'un dans l'autre. Le vent faisait voler les beaux cheveux de la jeune femme. Il l'aimait, son coeur le savait mais la raison ne voulait pas se l'avouer. Depuis que ses parents sont morts, il se refuse de s'ttacher à quelqu'un. Déjà qu'il l'était assez, il ne voulait pas s'attacher encore plus qu'il ne l'était déjà. Mais ça, elle ne le savait pas. Il ne fallait surtout pas qu'elle le sache. Les deux individus étaient l'un en face de l'autre depuis un long moment. 'Dis-le Liam, dis-le.. s'il te plait..' Rien ne sortait de sa bouche, même si son coeur voulait les sortir, il ne pouvait pas. Et puis après tout, non, il ne ressentait rien pour elle, juste un certain attachement. Non, il ne l'aimait pas. Il poussa un soupir baissant la tête. Il savait que le regard de la jeune femme était planté sur lui, un regard remplie de reproches mais un regard tellement attendrissant. Les deux jeunes adultes venaient de terminer leur soirée à consommer de l'alcool. Ils osaient donc plus dire les choses mais Liam ne dira jamais ses deux mots, si simples en apparence mais tellement fort. L'alcool lui donnait souvent de très bonnes idées. Ici, il avait besoin de savoir si il avait des sentiments pour elle, chose qu'il refutait. 'Cap ou pas cap de se revoir dans 5 ans? Même lieu, même heure?' Cap. Et c'est ce qu'ils firent.
Liam a maintenant 23 ans. Il est beaucoup plus responsable mais est toujours attaché à cette jeunesse qui boit et fume. Seulement, il boit et fume moins. Il est plus responsable et mature. Il aime beaucoup les femmes. C'est un drageur né qui aime qu'on le regarde. Tous les regards sur lui, ça il aime beaucoup. Choisissant le monde de la nuit, il est dj. Il a trouvé le truc qui lui plaisait le plus melant sa passion pour la musique et le monde de la nuit. Tous les regards sur lui chaque soir, de voir toutes ces personnes danser sur les tables rien que par le rythme, le beat, de voir toutes ces jolies filles; bon dieu! Gardant son fort caractère faisant de lui Liam Gabriel Dwaynes, il s'est tout de même assagit dans le boulot. Oui, il tient à son boulot pour payer les factures car il sait très bien que sans, il est à la rue. Oui, il n'est pas riche, mais pas dans le besoin. Il vit bien avec ce qu'il a. Voilà, vous savez tout sur Mr Dwaynes.
Dernière édition par Liam G. Dwaynes le Dim 20 Déc - 22:36, édité 7 fois
Liam G. Dwaynes
Vieilles chaussettes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 0:27
« YOUR TASTES »
* Plat préféré; Patte à la carbonara * Boisson préférée; Café * Livre préférée; Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde * Musique préférée; Boys don't cry, The Cure * Couleur préférée; Orange * Parfum de Glace préféré; Vanille * Odeur préférée; Celle de la victoire * Endroit préféré; Un toit, à la nuit tombée, regard dans le vide * Saison préférée; Celle où l'apparence compte le plus (été) * Lieu de vacances préféré; Hvar, Croatie * Pays préféré; USA
« « ANSWERS SOME QUESTiONS » »
* Si vous pouviez changer une chose; La faim dans le monde. La différence des personnes obèses aux States et d'autres avec la peau sur les os en Afrique ne devrait pas exister. * Votre plus grand rêve; Carpe Diem. * L'instant parfait; Courir avec la musique dans les oreilles, courir jusqu'à en perdre haleine, courir pour fuir le passé. * Le plus beau jour de votre vie; Il n'est pas encore arrivé.
« JUST TALK »
* Où avez-vous trouvez le forum ?; Ca remonte à un an! Me demandez pas de m'en souvenir! * Double compte ?; Nope. * Exemple de poste;
Spoiler:
Elle écarte les bras et tourne sur elle-même le sourire aux lèvres tant dis que Justine s'allonge sur la piste d'atterrissage des hélicoptères. Autour d'elles, de l'herbe. Il devait être deux heures du matin, pas plus. Elles avaient bu avant de décider de sortir fumer et de faire une balade. Aucunes des deux ne marchait droit, elles se tenaient la main mais on pouvait voir qu'elles n'étaient pas très parallèles dans leur petite ballade. Eleonore tournait toujours sur elle-même pendant que son amie passait ses mains dans ses longs cheveux brun. L'espace d'un instant, elle cru que tout allait ressortir mais non. Elle sourit avant de s'allonger aux cotés de son amie et de prendre sa clope. Elle tire dessus et se concentre sur une tour qui lançait une sorte de flash à temps régulier. Elle tire encore sur la clope, crache une bouffée de fumer avant d'entendre Justine lui demander une souflette. Dit, fait. Elle tire encore avant de se mettre sur elle, bouche contre bouche, et de souffler. Elle se retire en rigolant tout comme son amie. Elles étaient bien. Son amie posa sa tête sur son ventre pendant qu'elle était en train de terminer la garrot. Il commençait à pleuvoir quelques gouttes. Les jeunes restaient allongés, sur le sol. Les gouttes leur mouillaient le visage et les cheveux. Eleonore ferma les yeux. Elle aime la pluie, plus que tout. Elles avançaient dans le parc, marchant toujours pas droit mais se raccrochant cette fois-ci l'une à l'autre. La tête de la jeune femme lui disait 'rigole' alors elle rigolait sans même savoir pourquoi, elle le faisait. Débile umh? Ils fumèrent un joint sur le chemin du retour. Sans parents, sans model, on fume, on boit. Quelle est belle la jeunesse dépravée.
Les rayons du soleil perçaient maintenant à travers les persiennes du petit appartement de Chapel Hill qu’occupait une brune plutôt mystérieuse. Personne ne connaissait vraiment la vie de cette demoiselle, ce qu’elle était, ce qui la poussait à courir, on ne connaissait rien. Si les personnes se disant la connaître parlaient entre eux, ils se rendaient vite compte que finalement non, ils ne la connaissaient pas. Bien évidemment, ils avaient tous une version différente de sa vie ! Non, personne ne la connaissait, vraiment. On savait juste d’elle qu’elle aimait les soirées, qu’elle aimait boire et terminer ivre morte sur le trottoir d’un bar qui venait de fermer ses portes, qu’elle aimait fumer à en voir des petits bonhomme bleus se promener sur son bras, qu’elle aimait terminer ses soirées dans un nouvel appartement d’un homme dont elle ne connaissait rien, excepté le prénom dont elle ne s’en souviendrait même plus le lendemain matin, c’est tout ce qu’on savait d’elle. Mais pourquoi être rentrée dans ce cercle vicieux si jeune ? Pourquoi avoir déjà essayer pleins de choses alors qu’elle n’a que 19 ans à peine ? Elle n’avait plus rien à découvrir de la vie, excepté les sentiments. Elle ne connaissait rien de ce mot. Personne ne l’aimait et c’est sûrement mieux comme ça. Qui peut aimer une personne froide avec un perpétuel masque collé au visage ? Si les gens savaient ce qui se cachait sous ce masque, ils ne l’appellerait pas ‘la droguée’. Ils sauraient que c’est une personne qui a juste besoin qu’on l’apprécie, pour ce qu’elle est, droguée ou non. Qu’on l’aide, qu’on soit là pour elle. Non, elle ne connaissait pas les sentiments, amoureux ou amicaux. Elle n’a jamais dit ‘je t’aime’ ou ‘je t’adore’. Prouver son attachement pour une personne ou montrer ses sentiments, non, ça n’est vraiment pas pour elle. Elle est plutôt quelqu’un qui ne dira rien, insociable presque sauf lorsqu’elle vient de boire ou de fumer. Froide, mystérieuse, c’est vraiment les mots qui lui collent le plus à la peau. Elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds, de ce côté là elle est plutôt agressive. Oui, il ne faut pas l’embêter, c’est une personne qui part au quart de tour. Et chose importante, elle déteste dire merci ou avouer qu’elle a tort. Détestable vous voulez dire ? Oui, peut-être que cette personne, cette droguée est détestable.
La pièce était maintenant baignée dans la lumière d’un samedi matin banal à Chapel Hill. On pouvait entendre la vieille du dessus passer l’aspirateur dans son appartement, le couple d’à coté se crier dessus comme à l’heure habitude, le chat du voisin grattant à la porte, miaulant de toutes ses forces pour que son imbécile de maître lui ouvre la porte. Ce qui est marrant dans l’histoire, c’est que son maître a un sérieux problème d’oreilles. Eleonore ouvrit donc les yeux, impossible de continuer la grasse matinée dans cet immeuble de dingues. Elle soupira et regarda la baie vitrée de son appartement. Un samedi matin banal, du soleil jusqu’à midi qui se transformerait vite en temps de merde ou pluie, comme vous le voulez. Prenant son courage à deux mains, la demoiselle habitant l’appartement du J du troisième étage s’assit sur son lit. Passant la main sur son front, elle essayait de se souvenir de sa soirée d’hier mais aucun souvenirs, comme à son habitude. Un léger mal de crâne mademoiselle Aventurin ? Oui, sûrement. Elle se leva et se dirigea dans sa cuisine. Prenant un aspirine, elle se rendit vite compte qu’une odeur de tabac froid régnait dans la pièce. Voilà pourquoi elle avait mal à la tête, elle avait fumé un ou deux joint en rentrant d’un bar ou d’une discothèque ce qui, mélangé à la fatigue, l’avait poussé dans les doux bras de Morphée. Un regard dans le miroir du salon pour se rendre du fabuleux désastre que faisait l’alcool. Des cheveux emmêlés, la mascara et le noir sous les yeux, horrible. Appuyant sur la bouton de sa chaîne hi-fi, comme à son habitude, Eleonore mit du rock, comme à son habitude. Il y avait déjà assez de bruit dans l’immeuble, un peu plus un peu moins. Les miaulements du chat étaient toujours aussi intensifs. Eleonore n’était pas patiente, loin de là. Ouvrant la porte de son appartement alors qu’elle avait un simple shorty et un débardeur en guise de vêtement, elle sortit dans le couloir, prit le chat et, lui disant un gentil ‘fait pas chier’, elle le prit dans ses bras, descendit les trois étages et balança le chat dans le jardin de la vieille du rez-de-chaussée.
« Et maintenant tu t’amuses avec la terre des pétunias. »
Fière d’elle, elle remonta les étages pour rentrer chez elle. Elle ouvrit la fenêtre de son appartement en grand pour que l’odeur du tabac ne se renifle plus. Standing in the way of control, you live your life, survive the only way that you know. Direction douche. Aventurin en sortit une quinzaine de minutes plus tard, cheveux mouillés et en sous-vêtements. Regardant se qu’elle avait dans son frigo, elle se rendit vite compte que le café ne trônait plus sur le bar de la cuisine. Soupirant une énième fois, Eleonore sécha ses cheveux, enfila un débardeur noir, un short noir, un collant opaque noir ainsi qu’une grande chemise à carreaux noir et rouge. Elle se maquilla comme à son habitude et sortit de son appartement, argent en poche. Le voisin au chat discutait avec une voisine .
« Est ce que vous aurez vu mon chat ? Il devrait être dans le couloir comme d’habitude mais là je ne l’y trouve pas. » « Votre chat ? Oh mais je l’ai vu dans le jardin de Mme Thussaud. » « Mme Thussaud ? Elle m’a toujours détesté cette garce. » « Vous pensez qu’elle l’a fait exprès ? » « Bien sûr, elle ne m’aime pas depuis le début, elle ne doit pas supporter les bruits de mon chat, elle a donc voulu se venger, elle l’a prit. Je vais lui rendre la vie difficile croyez-moi. »
Petit sourire malin aux lèvres, Eleonore s’empressa de descendre les escaliers deux par deux. Les nuages recouvraient peu à peu le soleil, comme prévu. Sortant son paquet de cigarettes, elle alluma une clope et en tira le contenu. Chapel Hill est une ville très à part, une sorte de meltingpolt comme à New-York. Asiatiques, Russes, Américains, Serbes.. on pouvait entendre pas mal de langues différentes en cette période de l'anné. La brune reconnaît les français sur mille étant donné qu’elle était née à Paris. Les rues sont vraiment très intéressantes, on peut voir de toutes sortes de personnes, des plus improbables comme un ancien riche faisant maintenant la manche devant l’entrée d’un supermarché ou une bimbo dans une robe noir serrée avec un sac Dior et son caniche sous le bras. Une telle injustice ne devrait pas exister dans ce bas monde. Fouillant sa poche, Eleonore sortit une pièce qu’elle déposa dans la coupelle du vieux mendiant.
« Que dieu vous bénisse. »
Elle acquiesça d’un petit sourire avant de continuer son chemin en réfléchissant à cette phrase. Si seulement dieu pouvait exister le mendiant ne serait pas dehors, dans la rue, en train de demander une simple pièce. Et puis dieu, la bénir elle ? Il a sûrement d’autres choses à faire que de s’occuper d’une petite droguée. Et dieu il n’avait jamais été là pour elle, pourquoi il le serait maintenant ? Inspirant une grand taffe de sa cigarette, elle la jeta au sol avant de rentrer dans la petite boutique du bout de la rue. Elle en ressortit deux trois minutes plus tard, café en main. De retour à Cheeky, Eleonore appuya sur le bouton de l’ascenseur espérant qu’il ne prenne pas trop de temps. Le zéro s’afficha sur le cadran et les portes s’ouvrirent laissant place à un jeune homme que Eleonore connaissait, qui lui la connaissait mieux qu’elle le connaît. Elle ne voulait pas le revoir mais c’était inévitable.
« Qu’est ce que tu me veux ? »
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Dernière édition par Liam G. Dwaynes le Dim 13 Déc - 20:31, édité 5 fois
Andrea L. Baker
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 14:48
Liam, Liam, Liam re-bienvenue ! (: J'croit que j'vais devoir me faire pardonner pour notre rp jamais terminer ! x)
Marilyn J. Stills
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 15:55
Liaaam . Je te dis bienvenue aussi par post quand même <3
Liam G. Dwaynes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 19:34
Merci les choutes Oui Andrea, tu vas devoir te faire pardonner, je suis rancunière
Liam G. Dwaynes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 20:35
Désolé du dp; juste pour dire que je ne pense pas terminer dans les 5 prochains jours à cause des cours (je croule sous le travail). J'essairais quant même de terminer mercredi après-midi. Donc voilà, ne me supprimer pas pendant ce laps de temps :<3:
Emily G. Dawson
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 13 Déc - 20:36
Merci de prévenir On note ça !
Tom Anderson
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Mer 16 Déc - 21:03
Bienvenue chez les fous, bon courage pour ta fiche!
Liam G. Dwaynes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Sam 19 Déc - 20:39
Essayez de ne pas me mettre inactif svp, je boucle tout demain
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 20 Déc - 16:07
Bienvenue !
Liam G. Dwaynes
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Sujet: Re: Liam Gabriel Dwaynes -- i'm only human Dim 20 Déc - 22:37