Damon J. Matthews

**A D M I N S ;**

DAMON J. MATTHEWS

CHAPTER I
NOM : Matthews
PRENOM : Damon James
ÂGE : 26 ans
LOCALISATION : Londres,
DATE DE NAISSANCE : 17 mars 1983
LIEU DE NAISSANCE : Londres
MÉTIER/JOB : Mécanicien mais aussi receleur.
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
GROUPE : Gentleman

CHAPTER II
PLAT PREFERE : J'adore la nourriture Italienne. J'épouse directement la femme qui sache me faire des pâtes al dente.
BOISSON PRÉFÉRÉE : La bière, sans aucune hésitation. On s'entend bien elle et moi. Elle est devenue ma seconde meilleure amie, la première n'étant plus qu'un remord pour moi.
LIVRE PRÉFÉRÉ : Les journaux intimes de mes ex. Mine de rien on apprend pas mal de choses, comme quoi la voisine du-dessus s'avère être une fille facile. Je l'ai confirmé après vérification.
MUSIQUE PRÉFÉRÉE : Nirvana. Cobain, un dieu du rock. Je ne prend pas la route sans du Nirvana dans ma voiture.
COULEUR PRÉFÉRÉE : Celle de ses yeux… impossible d'oublier ce bleu unique. Impossible de l'oublier elle mais bordel, ses yeux me restent dans la tête.
PARFUM DE GLACE PRÉFÉRÉ : Pistache, délicieux !
ODEUR PRÉFÉRÉE : Le parfum d'une de mes ex, mais allez savoir lequel. Je ne m'en souviens plus, seule son odeur m'enivre encore.
ENDROIT PRÉFÉRÉ : Un bar. N'importe lequel. J'ai quand même une préférence pour celui non loin de chez moi. Histoire de ne pas prendre la route après et de rentrer sans prendre de risque. J'ai quand même quelques principes.
SAISON PRÉFÉRÉE : Peu importe la saison, la chasse reste ouverte toute l'année en ce qui me concerne.
LIEU DE VACANCES PRÉFÉRÉ : Un île déserte, une femme fatale et du rhum !
PAYS PRÉFÉRÉ : Le mien.
VILLE PRÉFÉRÉE : La mienne.

CHAPTER III
DEscriptION PSYCHOLOGIQUE : (10 lignes + 10 adjectifs)
Il n’est pas étonnant, une fois que l’on connaît l’histoire et le passé tumultueux du jeune homme, de s’apercevoir que son caractère est dût à celui-ci. Néanmoins la plupart des gens ne jugent que sur les apparences, et en surface le caractère de Matthews’ pourrait être jugé en un seul adjectif : Crétin. Lancer à tout va des petites phrases assassines sans aucune autre utilité que de rabaisser celui qui se trouve à côté de lui semble être l’une des occupations préférées de notre beau brun qui adore montrer sa supériorité masculine car oui notre homme est un horrible vantard, d’un naturel arrogant Damon est pourvu d’un ego démesuré et ne cesse de se magnifier aux yeux des autres –mais ce côté qui peut paraître agaçant fait aussi partit de son charme-, pendant des années personne n’a pris le temps de le regarder, et encore moins de l’écouter, et c’est pour cela qu’aujourd’hui il aime tant être au centre de l’attention, qu’on le complimente est ce qu’il préfère et être conscient que les filles se retournent sur son passage pour mieux admirer sa carrure est un vrai bonheur pour Matthews’ qui est conscient de son charisme certain. Car oui, Damon est un beau gosse et il le sait, séduisant il en vient même à jouer de ses atouts pour obtenir ce qu’il désire ou faire plier la gente féminine à ses désirs. Et il vaudrait mieux que celles-ci ne lui tiennent pas trop longtemps tête : il se trouve que le jeune interne a tout simplement horreur qu’on lui refuse quoi que ce soit tout comme il insupporte d’avoir tort sur un sujet quelconque et, mauvais joueur, même s’il s’aperçoit de son tort, il ne s’excusera pas et n’avouera pas s’être trompé. Matthews’ est pourvu d’un caractère fort et abrupt et veut tout, tout de suite, le simple fait d’attendre l’agace et a le don de l’énerver, il faut dire que notre homme est très impulsif et démarre au quart de tour ce qui peut provoquer des retournements inattendues et lorsqu’il se laisse parfois emporté par sa violence il peut même aller jusqu’à se servir de ses poings quand la situation dégénère. D’un naturel battant il se fixe des objectifs toujours plus difficiles à atteindre et dès lors qu’il s’est mis en tête d’entreprendre quelque chose vous ne le verrez jamais baisser les bras. Damon a horreur que l’on se moque de lui, qu’on essaye de l’embobiner, qu’on marche sur ses plates-bandes ou pire encore qu'on se permette de lui faire une reflexion. En revanche Monsieur possède un franc parler plutôt singlant et vous balancera vos quatre verités à la figue. Il aime se plaindre, de tout, de n’importe quoi et surtout de n’importe qui, et il n’hésitera pas à vous balancer à vos supérieurs si vous l’agacer de même que vous pourriez bien être viré par la suite à cause de lui, il s’en moquerait bien, Matthews’ ne semble pas connaître les remords… Mais c’est faux. Sous cette apparence de beau mâle arrogant et quelque peu détestable sur les bords, oui, sous cette façade, se cache un mec bien. Car contrairement à ce qu’il laisse penser Damon est là lorsque l’on a besoin de lui, et même s’il donnera l’impression que vous aider le fera royalement chié, ne vous y m’éprenez pas, il le fera quand même, et bien. Il sait donner et être généreux même si il a du mal à se montrer affectif, mais lorsque l’on n’a reçut aucune preuve d’amour en étant petit, il est difficile de donner par la suite cet amour inexistant aux autres. Mais si on apprend à le connaître réellement, on s’aperçoit qu’on est face à un garçon dont la gentillesse est –bien que cachée- réelle. Bon vivant, Damon aime rire, et son humour est apprécié de tous, d’ailleurs il n’est pas rare de relever les défis ou les paris les plus idiots qu’il soit pour amuser la galerie. Parallèlement sa fierté et son orgueil l’empêchent de montrer ses véritables émotions qu’il cache sous un petit sourire en coin insupportable. On arrive difficilement à savoir lorsqu’il va mal ou a des soucis car il préfère garder cela en lui, refusant de parler de ce qui le rend triste, de même qu’il se montre très discret sur son passé, considérant que mettre son âme à nue est une preuve de faiblesse
.
PARCOURS : ( 30 lignes minimum )
Je n'aime pas raconter ma vie, mais puisqu'il le faut… Ma naissance s'est faite sans mon père, ce dernier nous a lâchement abandonné. Mais peu importe, je n'ai jamais manqué d'une présence paternelle, peut-être que ma mère si, néanmoins elle ne m'a presque pas parlé de lui. Elle m'a raconté la fois où il a claqué la porte, plus précisément la dernière fois qu'elle l'a vu. Elle m'a avoué l'avoir aimé, avoir rêvé de fonder une famille avec lui mais finalement l'amour n'a pas eu raison d'elle. Ma mère je l'aime et je la respecte puis elle est la seule pour qui je suis capable du meilleur. Elle est importante pour moi, rien de plus normal mais je m'en veux… je m'en veux de ne pas être le fils modèle… je m'en veux de l'avoir vu souffrir. Je déteste ce bâtard qui lui a volé son sourire un soir où elle rentrait du boulot. Il a fait de ma mère une femme détruite et enceinte. Il l'a sali mais ce salaud restera le père de ma sœur… elle est la bonté incarnée, alors difficile de croire que son père n'est autre qu'un rôdeur hostile et encore le terme reste très faible. Pour ne pas blesser ma sœur, ma mère lui a menti sur sa naissance. Elle lui a prétendu être une seconde fois tombée dans les bras d'un homme qui l'a mise enceinte pour ensuite décamper. Le seul problème, ma sœur souhaite depuis quelques temps connaître son père, une simple envie qui l'a pousse vers des questions embarrassantes pour ma mère et moi. Je pense que ma mère finira par lui raconter la vraie histoire, aussi douloureuse soit-elle. Je n'ai pas spécialement parlé de moi, mais que dire ?… J'ai sombré dans la délinquance. Je me suis donné l'occasion de devenir une mauvaise fréquentation sans m'en rendre compte. Je recelais. Je me suis noyé dans les ennuis. Je me suis écarté de ma famille pour ne pas l'attirer dans mes problèmes. J'ai laissé ma mère payer ma caution chez les condés. Je suis tombé amoureux.

2003. CHEZ LES MATTHEWS. APRÈS-MIDI.
« Tu t’es servie de moi pour en oublier un autre ! Et tu crois qu’on va rester amis ? Alors que tu retournes dans ses bras ? Arrêtes ! Je ne veux plus te voir. » J’étais blessé… une plaie s’était formée au niveau de mon cœur. J’étais tombé amoureux pour la première et dernière fois. Elle s’était servie de moi pour oublier son ex, pour oublier qu’il l’avait humilié en la trompant avec une autre. Je ne voulais plus la voir. Mon cœur se referma…
« Damon pardonnes moi. » Elle plaisantait ou quoi ? Je ne voulais pas la pardonner. Elle laissa couler quelques larmes, ce qui ne me toucha pas. J’étais trop énervé contre elle pour la prendre dans mes bras et la consoler. Je restais là devant elle, sans dire le moindre mot. Elle se rapprocha de moi comme pour me faire une accolade. Je reculai d'un pas rapide.
« Va-t-en. » Je la repoussai presque violemment mais il m'était impossible de lui faire du mal. Elle s'empressa de sortir de ma chambre, tout en pleurant et marmonnant une dernière phrase.
« Je t'ai quand même aimé. » Elle se foutait de moi ou quoi ? Je m'en fichais. Elle allait retourner dans les bras de son ex en osant me dire une telle chose. Je fermai la porte derrière elle, sans enrichir notre conversation. Je m'installai sur mon lit. Je l'aimais encore… j'allais la détester. Je noyais ensuite ma colère dans l'alcool. Ma meilleure amie resta auprès de moi. J'avais trop bu ce soir-là, le soir où elle m'avoua ses sentiments envers moi. Je me suis servi de son amour pour coucher avec elle. Je m'en veux. J'ai essayé de lui parler mais elle m'a envoyé sur les roses avec une claque, réaction normale. J’aimerai me convaincre qu’elle ne représente plus rien pour moi mais non… elle me manque. J’ai brisé notre amitié. J’ai brisé son cœur. Je suis l’unique responsable. J'ai des remords. Je ne l'ai pas revu depuis. Quelques temps plus tard je me retrouvais en prison pour recèle. L'un de mes soi-disant amis m'a dénoncé aux condés. J'en suis sorti quatre ans après. Entre-temps, un homme riche a épousé ma mère. Je ne l'apprécie que trop peu. Il ne m'aspire pas confiance.

2008. UN BAR. DÉBUT DE SOIRÉE.
« Hé Matthews ! J’ai vu ta mère hier soir. Tu veux savoir où ? » Une voix familière brisa le silence autour de moi. Je lâchai mon verre de bière alors que mes sourcils se froncèrent. Que faisait-il ici ? Je le détestais. Il était l’un de mes amis mais ce n’était qu’un traitre. Qu’un lâche. Je ne souhaitais qu’une seule chose, lui rendre la monnaie de sa pièce, mais malheureusement je ne pouvais rien faire. Je serrais ma main alors que la sienne se posa brusquement sur le comptoir. Il commanda une bière tout en me prenant de haut. Je ne supportais pas la situation actuelle. Je bouillonnais intérieurement mais je devais rester calme…
« J’te conseil de te taire, Parker ! » Je lui donnai un conseil. Qu’il ne suivra pas… mais au moins je l’avais prévenu. Plus je le regardais plus j’avais envie de vomir. Il me dégoutait, sa trahison me dégoutait. Je l’avais considéré comme un frère. Je l’avais accueilli chez moi alors qu'il s'était méchamment disputé avec ses parents. Il a fouiné dans ma vie, dans mes histoires et il m'a ensuite vendu aux flics. Je ne faisais rien de mal. J’aidais ma famille. Je voulais leur offrir une vie meilleure. Ne plus voir ma mère travailler dur pour une modique somme. Je m’étais donc initié au monde de la recèle. J’ai sombré dans la délinquance.
« Au coin d'une rue avec un mec bien propre sur lui. Elle tapine ou quoi ? » Je me levai d‘un bond. Mes yeux le fusillèrent. Mon esprit me contredisait. Je me retenais de lui coller une droite. Il consomma sa bière comme si de rien n’était. Je ne pouvais rien faire, au risque de retourner en prison. Car il porterait plainte. Je le connaissais. Je ne voulais pas revoir ma mère au parloir. Mais je ne voulais plus entendre ce bâtard parler d’elle ainsi. Je pouvais très bien partir et le laisser là. Ne rien lui faire. Néanmoins, mes pieds restaient enracinés. Impossible d’avancer. J’allais le démonter.
« Ouvres encore une fois ta bouche et… » J’étais bien trop sympathique sur ce coup-là. Je lui laissais encore une chance. J'aimerai tellement l'encastrer dans le mur derrière lui. Lui dire ses quatre vérités avec les mains. Il me provoquait. Il me défait. Il me testait. Il allait morfler. Une petite voix me disait de ne pas le faire, une autre me disait de lui décoller la mâchoire. Contre toute attente, la première me resta l'idée la plus vertueuse. Mais je n'étais pas réputé pour ma vertu.
« Et quoi ? Tu ne me fais pas peur. Par contre toi, tu devrais te méfier de la case prison. » Je lui adressai un sourire, pas bien rassurant pour ne pas dire inquiétant. Il parla une fois de trop. Je le plaquai contre le mur de derrière. Le serveur du bar me capta de suite. Il m'interpela mais sans succès. J'allais lui donner un aller-simple pour l'hôpital. J'allais aussi m'en donner un pour la prison. Car ce lâche ne vendra une seconde fois… une semaine plus tard, la police frappait chez moi. J'en ai pris pour six mois.

Je suis de nouveau dehors. Je me suis trouvé un boulot en tant que mécanicien. Un vieil homme a vendu son garage pour presque rien. J'ai alors sauté sur l'occasion. Je l'ai repris. Je me suis aussi dégoté un appartement ~~en collocation avec une charmante demoiselle~~. Le mari de ma mère impose ses lois. Il me considère comme une personne infréquentable. Je suis d'après lui un mauvais exemple pour ma sœur. Il m'empêche parfois de voir ma famille. Je me faufile alors chez eux le soir, pour voir ma sœur. Je passe quelques minutes avec elle. Je m'assure que tout va bien. Elle me dit que oui. Je n'en suis pas sûr. Je n'ai aucune confiance en mon beau-père. Je me fais peut-être des films.

CHAPTER IV
SI VOUS POUVIEZ CHANGER QUELQUE CHOSE :
VOTRE PLUS GRAND REVE :
L'INSTANT PARFAIT :
LE PLUS BEAU JOUR DE VOTRE VIE :

CHAPTER V
PRENOM : Appelez moi Damon ou Josh si vous préférez.
ÂGE : Je commence à me faire vieux maintenant (a)
NIVEAU RP : un petit 3.
OU AVEZ VOUS CONNU LE FO ? : Question stupide x)
AVATAR : Ian Somerhalder
CODE : OKAY
AUTRES : Adios Josh, hola Ian (: