C'est un beau roman ; c'est une belle histoire - Rhys

Oeuf **à la coque**

PRENOM & NOM

C'est un beau roman ; c'est une belle histoire - Rhys 100717023722823505

CHAPTER I
NOM : Sheffield
PRENOMS : Rhys, William
ÂGE : 20 ans
LOCALISATION : Soho
DATE DE NAISSANCE : 31.07.1990
LIEU DE NAISSANCE : Cardiff, Wales
METIER/JOB : Libraire
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
GROUPE :Etudiants en Langues

CHAPTER II
PLAT PREFERE : Qui peut passer en Italie sans gouter aux fameuses Pasta Italiana ? Ce ne fut en tout cas pas moi, et le délicieux parfum des Spaghetti alla Puttanesca ravi de mon odorat jusqu'à mes papilles.
BOISSON PREFEREE : N'étant pas très soda ou tout ce qui respire le chimique, je pencherais plus vers des extraits de fruit. Sans nul doute parmi eux, le jus d'ananas est mon préféré. Après tout, qui ne s'est jamais surpris à rêver des tropiques en sirotant son jus d'ananas frais sur le bord de la piscine ?
LIVRE PREFERE : J'ai beau être un anglais pur souche, la litterature étrangère m'intéresse aussi. Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part de Ana Gavalda est un livre sans qualité littéraire particulière, mais il n'en est pas moins charmant et enivrant.
MUSIQUE PREFEREE : Heureux l'anglais qui, s'endort en écoutant the Pixies, qui collectionne les albums des Beatles et qui respire au son de Scorpion !
COULEUR PREFEREE : Je sais d'avance que certain d'entre vous me diront que le blanc n'est pas une couleur, il n'empêche qu'elle symbolise la pureté, la paix, et d'autant plus de qualités bienfaisantes. Le blanc c'est comme la tâche d'espoir dans un monde qui ne demande que ça et moi, je l'aime !
PARFUM DE GALCE PREFERE : La gourmantise doit être le vice auquel je cède le plus de terrain et, la glace à la vanille ne fait rien pour arranger ça !
ODEUR PREFEREE : Qui ne s'est jamais arrêté un Dimanche matin devant la boulangerie du village ? L'odeur du pain frai et des viennoiseries c'est sans aucun doute l'odeur que je préfère même si elle représente une grande tentation à laquelle il m'arrive trop souvent de céder. Foutue gourmandise !
ENDROIT PREFERE : Je dois dire que peu importe où je sois, tant que j'ai les pieds sur la terre italienne, je me sens vraiment bien. Mais c'est vrai cependant, si je me trouve à la Piazza della Repubblica de Florence et, qui plus la nuit, alors là ; je suis le plus heureux des hommes.
SAISON PREFEREE : Sans aucun doute je préfère l'été ! L'hiver dure bien trop longtemps ; et la neige c'est bien, mais à court terme ! Et puis qui n'aime pas se promener habillé léger sur les plages de Grande Bretagne ?
LIEU DE VACANCES PREFERE : J'aime beaucoup voyager dans les grands pays d'Europe. Parmi eux mes destinations préférées sont sûrement l'Italie, la France et l'Espagne ; même si ma préférence va bien évidement pour la botte Italienne.
PAYS PREFERE : l'Italie, l'Italie, l'Italie, l'Italie et l'Italie ; c'est plutôt claire non ? Ah oui et aussi, j'aime assez retrouver mes origines au Pays de Galle... Mais ce dernier n'a certainement pas la douceur et le charme des villes et campagnes italiennes.
VILLE PREFEREE : Florence ; la grande et belle Florence ; elle m'a envouté alors que j'y avais à peine posé le pied... Depuis, elle est ma muse.

CHAPTER III
DEscriptION PSYCHOLOGIQUE :

DISCRET • POSE • CALME • CHARMEUR • DÉTERMINÉ • AMBITIEUX • BOSSEUR • DRÔLE • CULTIVE • CURIEUX • ORDONNE • FIDELE • PARFOIS TETE EN L'AIR • PAS DU MATIN • PERFECTIONNISTE (SURTOUT AVEC LUI-MEME) • NERVEUX • MYSTÉRIEUX • OBSERVATEUR • FIN PSYCHOLOGUE • CREATIF • SENSIBLE MAIS PAS CHOCHOTTE • ENERGIQUE • MEFIANT • GALANT

Rhys n’a rien d’un garçon extravagant –en tout cas c’est ce qu’il pense. L’éducation et les passages que nous traversons dans nos vies forment ce que nous sommes. Coté éducation, Rhys est né dans une famille Galloise aux revenus correct –voir bien plus. Sa naïveté le conduisit donc directement « dans la gueule du loup »… Trop souvent victime de canulars et de moqueries Rhys a su garder la tête basse, oublier les immaturités de ses petits camarades et quoi qu’il arrive, persévérer. Enfin tous ces petits incidents n’ont pas étés sans effets et, d’un garçon naïf et sociable, Rhys est devenu quelque peu méfiant et indépendant. Toute fois et heureusement, Rhys ne s’est pas laissé démonter, il a prouvé qu’il était un garçon pacifique et calme et, aux yeux de ses parents comme du reste des adultes, il est resté le même petit garçon calme, discret et attendrissant.
En grandissant, Rhys s’est découvert de très grandes passions. Pour elles, il était près à tout donner ou tout abandonner. C’est d’ailleurs elles, ainsi que son éternelle curiosité, qui le poussèrent à s’éloigner du cocon familial. Toute fois, il n’en perdit pas moins les vieilles habitudes de la maison : le rangement… Nombreux sont ses amis qui l’ont souvent charrié sur ce sujet ; mais que voulez vous, Rhys aime assez ne pas chercher ses affaires pendant cent ans et tout avoir à porté de main. Mais attention, il n’en est pas moins faignant, bien au contraire ! Rhys est un garçon très énergique qui ne laisse aucune place à la fainéantise. Bon certes ce n’est pas un sportif de grande qualité, bien au contraire, mais il n’en est pas moins un très bon marcheur (par exemple). D’ailleurs… notez bien que la curiosité et la marche à pied ne font jamais très bon ménage… Voilà qu’il arrive au jeune homme de partir des heures et des heures durant, juste pour marcher et découvrir… Laissant naturellement de coté son sens de l’orientation… Inutile de vous faire un dessin, vous le comprenez sûrement aussi bien que moi.
Il vous faut toute fois ne pas tomber dans le stéréotype de l’intellectuel coincé ! Rhys a beau ne pas être mannequin, sa sensibilité et son coté artiste le servent bien lorsqu’il s’agit de séduire –ajouté à cela son humour, certes particulier, Rhys n’en est pas moins un adversaire pour ces messieurs. Bien sûr, le jeune homme n’est pas un coureur de jupon et, la gente féminine bien que présentant de nombreux attraits, n’est pas une de ses passions favorites. Ce qui n’empêche cependant pas le jeune homme de rester galant et poli en toute situation.

PARCOURS :

31.07.1990, Hopital de Cardiff

C’est un plein milieu du printemps que j’ai décidé de pointer le bout de mon nez. Je dois l’avouer, la première fois qu’on prend une bouffée d’oxygène, on se demande ce qu’il nous arrive dans quel monde on arrive. Néanmoins, je restais silencieux, pas de cris ni de larmes, dans le fond je devais savoir que cette vie qui m’attendait m’offrirai bien des délices. La première personne sur laquelle je posais mes yeux était une petite fille –une adorable petite fille. Elle avait de grands yeux remplis d’étoiles, et c’était d’ailleurs fou ce que cet incendie de bonheur pouvait atténuer le flou de la pièce. Plus tard ; je comprendrais que ce rayon de soleil était ma sœur et qu’ensemble, nous baptiserions celle qui me gardais chaudement contre elle : Maman.
C’est vrai, au premier abord je fus très effrayé par l’agitation qui inonda si soudainement la pièce. Toutes ces grosses machines et ces affreux bruits agressifs. Mes yeux de lynx étaient aussi développé que ceux d’une taupe –c’était effrayant. Plus d’étoile, plus d’incendiaire, juste d’immenses robots gris mangeurs d’hommes.
Du gris – du noir – et puis plus rien.

Le réveil fut difficile, mes paupières étaient lourdes comme jamais. Je me souvenais des cris des robots qui m’agressaient les oreilles et je me souvenais des incendies de la chambre 118. Finalement comme le rideau devant la centaine de spectateur enthousiastes j’ouvris grands les yeux. Avec surprise je découvrais que le public était plus nombreux qu’annoncé : trois visages se penchaient au dessus du mien. La surprise sur mon jeune visage du quelque peu les surprendre –peut-être autant que moi et, se dessina sur leurs visage une étrange grimace. C’était comme s’ils tiraient sur leur bouche –mais sans les mains. En fait ce n’était même pas désagréable. Je tentais moi aussi d’imiter mon public ; mais malgré tous mes efforts je crains que cela ne ressemble qu’à l’ouverture de ma cavité buccale de manière sombre et barbare. Enfin ma sombre grimace anima chez eux trois différents sons qui contrastaient avec les horribles hurlements de robots. Ceux-là étaient plus naturels. Le premier était celui d’un gros bonhomme au visage rond. Le son émit était grave mais doux et à peine audible… Le deuxième était celui de l’incendiaire de la chambre 118, une petite fille, un petit ange, un éclat court et bref aiguë et, contrairement au premier, au combien bruyant. Le troisième, était un mélange des deux premiers : discret et aiguë. J’étais fan de celui là : il était beau. Il était doux et apaisant, il provoqua chez moi une sorte de tension musculaire des deux cotés de la bouche ainsi qu’aux bords des yeux. Très vite je me rendis compte que cette grimace ressemblait à celles qu’ils m’avaient offertes quelques secondes plus tard. C’était un sourire…

18.12.2006, la Maison des Sheffield

Firenze alias Florence ; capitale de la Toscane et la plus belle ville du monde à mes yeux. Berceau de la Renaissance Italienne elle est, et de loin, la plus belle des richesses que possède cette planète. C’est là-bas que mes parents nous avaient amené Sooz et moi, passer nos premières vacances en famille en dehors de Grande Bretagne. Le soleil était, je me rappelle, avait été au beau fixe toute la semaine et, Sooz et moi avions passé notre temps à gambader seuls dans les rues de la ville. Plusieurs fois quelques marins nous avaient offert de traverser le fleuve Arno, ce que nous avions fait avec enthousiasme, nous avions admiré l’immensité de la Basilica Santa Maria del Fiore, et j’étais tombé amoureux de la belle Florence. Je n'avais que treize ans...

Depuis mon retour, jours et nuits je rêvais de retraverser l’Italie, et puis l’Espagne, la France, et puis pourquoi pas l’Europe entière –ou le monde ! Ma curiosité me poussait à aller toujours plus loin et, maintenant que j’étais rentré au Pays de Galle j’avais l’impression de ne pas en avoir assez profité et que bientôt, il me faudrait y retourner. Cette idée m’enthousiasmait tellement que de nombreux frissons parcoururent ma colonne vertébrale de long en large… Tout de même je devais être un peu fou –qui se mettrait dans cet état pour un voyage ?! Il n’y avait que moi c’était certain.
Le temps n’avait pas atténué tout l’amour que je portais pour le voyage et les langues bien au contraire, il l’avait ravivé… Plus je grandissais et plus le choix qui s’offrait à moi m’apparaissait clairement. Il y avait l’université de Cardiff de renommée nationale, et puis il y avait celle de Londres – de renommée internationale ! Personnellement mon choix était fait mais… encore fallait-il le faire accepter à mes parents. Allez annoncer à des parents poules comme les miens que leur petit dernier s’apprête à quitter la maison alors qu’il n’a pas encore atteint la majorité !
Papa rentrait à peine du boulot. Il s’assit sur son fauteuil de cuir et se mit à lire le canard. Je m’assis en face de lui et lui dit solennellement :

Papa… Je dois te parler de quelque chose –c’est important.

Mon père ne souleva qu’à peine les yeux et bredouilla un simple « hmm ? ». Je savais qu’alors je n’obtiendrais pas plus d’attention. Je me raclais alors la gorge et repris.

Je vais partir étudier à Londres dès l’année prochaine

D’un ton décidé je ne leur laissais d’autre choix que d’accepter ma décision. Plus tard ; s’il me demandais quelle mouche m’avait piqué je lui expliquerais mais, pour l’heure, il ne pensait pas vraiment à ça… ce qui ne m’étonnait guerre.

Et comment comptes tu vivre là-bas ? Y a tu seulement songé ?

Et bien j’y ai beaucoup réfléchi et je me suis dit qu’il me serait facile de trouver un travail sur place qui suffirait à me payer un appartement ainsi que le reste.

Mon père rabaissa son journal et finit par le poser fermer sur la petite table basse face à nous. Il eut ce petit rictus que je connaissais par cœur maintenant. Il passa sa main dans sa barbe des trois jours et contractait d’abord ses maxillaires gauches, puis celles de droite. Habituellement, il faisait cette moue lorsqu’il réfléchissait mais là, en plus de ce rictus il y avait quelques étoiles dans ses yeux et un léger sourire sur ses lèvres. Vous savez, celui qui ressemble à celui de tous les parents lorsqu’ils s’aperçoivent que leur enfant a grandit sous leur yeux et qu’eux, n’ont jamais fait que constater le temps qui passe…
Je savais alors que dès l’année prochaine je partirais étudier à l’université de Londres. L’attitude de mon père n’avait aucun secret pour moi et maintenant, j’attendais juste la confirmation…

Laisse moi en parler à ta mère…

Qui ne tarda pas à arriver…

CHAPTER IV
SI VOUS POUVIEZ CHANGER QUELQUE CHOSE : Le manque d'ouverture d'esprit de certains personnes sans aucun doute ! Il n'y a rien de plus insupportable à mes yeux !
VOTRE PLUS GRAND REVE : Partir vivre en Europe, près de la Méditerranée sans aucun doute possible !
L'INSTANT PARFAIT : Sûrement quand nous nous étions assis au beau milieu de a Piazza della Repubblica de Florence, en début de soirée ; à siroter un jus de fruit avec ma petite soeur Sooz !
LE PLUS BEAU JOUR DE VOTRE VIE : J'avais treize ans, c'était le jour où j'ai découvert l'Italie -il me semble que cette semaine restera la plus belle de ma vie !

CHAPTER V
PRENOM : Kagen
ÂGE :19
NIVEAU RP : 3/5
OU AVEZ VOUS CONNU LE FO ? : Par un partenaire je crois
AVATAR :Jamie Bell
CODE : OKAY PAR DAMON
AUTRES :Désolé pas super la fiche >< Je me rattraperai en rolant !

Crème **brûlée**

Oeuf **à la coque**

Ma fiche est terminée ! S'il y a quelque chose à modifier ou à compléter (Alanis tu as le droit de regard aussi ! xD) je m'en chargerai !

**A D M I N S ;**

Bienvenue à toi ! Merci de ton inscription (:
Ta présentation me semble plus que correcte, je te VALIDE donc Wink

Crème **brûlée**

J'ai qu'un truc à dire, on rp quand? :boum:

Oeuf **à la coque**

Merci bien !
Je n'ai qu'une seule chose à répondre : Quand tu veux ! J'suis libre comme l'air à présent !

Crème **brûlée**

Maintenant alors :=)):

Oeuf **à la coque**

Et bah alors on est parti ? Tu veux commencer ? ou je le fais ?

Crème **brûlée**

Si tu le faisais ça serait super vu que j'ai commené tous mes autres sinon je le fais après Castle

Oeuf **à la coque**

Y'a aucun soucis, tu me laisses juste deux trois indications pour le lieu et/ou le scénario et j'm'en occupe demain après le boulot

Crème **brûlée**

Je le ferais demain matin, si ça peut t'arranger comme j'aurai le temps de toute façon, je t'enverrai le lien en MP je le ferais à Courtauld en toute logique, sauf si tu préfères un autre lieux